Angoulême : Trois scénarios pour réveiller la place de La Bussatte

SSi vous avez besoin d'une ville sans commerce, ",Feu Thierry Peltier } " Fournir se garer en dehors de la ville pourrait marcher ", répond Nicole Lortie. Ma première boulangerie désabusée, 21 ans En entreprise, tous les piétons disparaissent et riment. Ma seconde est une retraitée qui veut se promener en toute tranquillité d'esprit." Lire à l'ombre "Local C'est un compromis difficile de me retrouver entre les habitants et le commerçant. Enfin rajeunir.

SBusiness S'il te faut une ville sans ville, ",va faire fumer Thierry Pertier. " Fournir un parking en dehors de la ville pourrait fonctionner ", répond Nicole Lortie. Ma première boulangerie désabusée, un commerce de 21  , tous les piétons ont disparu et ont rimé. Ma deuxième personne est une personne à la retraite qui souhaite se promener l'esprit tranquille." Lire à l'ombre "C'est un compromis difficile de me retrouver entre les locaux et le commerçant. Enfin, activez l'emplacement de La Bussatte à Angoulême. Mais c'est le travail de la municipalité. Elle a récemment invité les experts et les habitants à la mairie les uns après les autres.

Si vous avez besoin d'une ville sans commerce, continuez à supprimer les places de stationnement.

Trois scénarios ont été placés dans le tableau. Une zone de rassemblement à 20km/h pour les véhicules prioritaires et les piétons, comme devant la mairie. Un compromis où certaines places de parking ont été supprimées. Ou complètement piétonne. La fin de la rue Perigyu, en passant devant les fresques de Gosini et par l'entrée de la rue du même nom, est réservée à la bipédie. Ce n'est pas qu'une feuille de route à l'horizon incertain . La ville veut tester l'aménagement cet automne après avoir organisé une réunion publique (cette fois ouverte à tous) à la rentrée.

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Place de L'avenir de la gorge de La Bussatte 

Asphalte fermé et défoncé. La place de La Bussatte à Angoulême n'est pas attrayante. La municipalité veut y remédier... mais pas avant 2024. Habitants et commerçants donnent leurs idées.

" Rien ne se passe ici "

" Raisons de freiner la flow Nombre de voitures quand la rue est déjà relativement morte  "demande FlavieBlin, craignant l'idée que la dernière option soit sélectionnée. Elle a repris la pâtisserie Chomard en décembre et sait déjà que l'emplacement est un défi pour tout le quartier. Surtout à cette extrémité de la rue Gosini, qui relie Labssatte et Shandmars. " Après avoir passé 20 ans à Angoulême, les clients découvrent parfois mon magasin. Ça rend malade ", se lamente Isabel Pitchie. Les patrons des trois magasins de vêtements de la rue Gosini préfèrent que les voitures continuent à traverser la rue. Les personnes choisies vivent-elles dans leur ville ? »

Ludivine Courselle de Lapetiteastuce, magasin de solutions zéro déchet, s'est jointe à la conversation. La confabulation se déroule improvisée entre les trois patrons devant le bar du lieu, le Beber. Et le même constat est fait en quelques minutes : Pas de salut sans voiture. Et plus généralement  :" Rien ne se passe ici ". " Evénements pendant la Fête de la BD "proposent Flavie Blin et Ludivine Courselle.

Sans voiture, pas de salut

Un habitant local apparaît et ses cheveux blanchissent de poussière." Je rénove un immeuble ", je m'excuse auprès de Yann Berger qui est déjà sur la place. L'entrepreneur était à la mairie jeudi dernier avec une dizaine d'autres habitants. A discuter avec deux agents  : La partie parking est Jean-Philippe Pousset et la partie travail est Guillaume Chupin. " Comment faire revenir un client sans voiture  "Pourtant, beaucoup de gens aiment" vivre dans le centre-ville à pied } "

En seulement 7 ans , le commerce de Yann Berger a été progressivement fermé et la pharmacie, la galerie 2018 et le salon de coiffure Avant Premier'Hairs ont été remplacés par des services. .. " Sans restaurants et bars, il n'y aurait pas de vie de quartier. »Le locataire Beber a également été gentil avec Isabel Pitchie car il n'a pas assisté à la réunion des commerçants il y a 10 jours. J'ai été grondé. " Mais à 18 h, je travaille toujours à  . "Il répond. A la rentrée, il a une seconde chance pour une réunion publique qui promet d'être suivie par tant de monde.