Vu de l’étranger.
Le 7 décembre, l’écrivaine française, 82 ans, a prononcé à Stockholm son discours de réception du prix Nobel de littérature. Elle s’y est montrée fidèle à ses engagements littéraires et politiques, gardant toutefois le silence sur la cause palestinienne.
Elle avait promis un discours “engagé”. Elle a livré “un discours qui lui ressemble”, un exercice d’“introspection sobre”, commente le quotidien berlinois Die Welt. Le 7 décembre, à Stockholm, Annie Ernaux a prononcé devant l’Académie suédoise le traditionnel discours de réception attendu des nobélisés. Le 10 décembre doit avoir lieu, au même endroit, la cérémonie officielle de remise du prix Nobel de littérature.
Quelques médias étrangers, à l’instar du quotidien espagnol El País, reproduisent le discours de la Française en intégralité sur leur site. En français, il est entre autres disponible sur les sites de nos collègues du Monde ou de L’Obs.
Un “concentré” de l’art d’Annie Ernaux
Pour introduire son propos, plutôt concis en son genre, Annie Ernaux a ressorti une phras
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