Répression.
Shahnewaz Chowdhury, qui avait seulement exprimé son inquiétude sur l’impact environnemental d’un projet de centrale à charbon, risque dix ans de réclusion pour avoir publié des “informations fausses et offensantes” et avoir créé le chaos. Un portrait publié à l’occasion de la campagne “Dix jours pour signer” d’Amnesty international.
“Le militant écologiste Shahnewaz Chowdhury est actuellement en liberté sous caution”, rappelle Al-Jazeera sur son site Internet. Mais il risque dix ans de prison pour un post Facebook. Shahnewaz Chowdhury, un militant de la cause environnementale, avait été arrêté au mois de mai 2021 pour avoir exprimé son inquiétude sur un projet de centrale à charbon à Banshkhali, dans le sud-est du Bangladesh.
Il avait appelé les jeunes à “résister à l’injustice” grâce à une “écriture courageuse” faisant part de ses craintes quant à une centr
Courrier international
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