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Borne prévoit une "réponse à court terme" aux urgences en retard

Au lendemain de la "mission flash" réalisée en urgence, Elizabeth Borne a fermé l'hôpital cet été sans mentionner explicitement les plus polémiques. Des mesures confirmées pour "garder toutes les suggestions" se débarrasser de.

Le gouvernement a "retenu toutes les propositions" dans la "mission flash" qui a proposé 41 mesures et confirmé le Premier ministre lors d'un déplacement au Centre Hospitalier de Pontoise (Val-d'Oise). La visite, aux allures de démonstration d'efficacité, lui laisse l'impression d'un « monde magique ». C'est la preuve que « quand on a tous commencé de bonne foi, on a réussi quelque chose ». Les quelques patients restés sur des brancards dans le couloir des urgences ne l'étaient pas.

Un symptôme courant de la crise identifié par le Samu-Urgences de France fin mai est de limiter les activités dans toute la France en raison d'une pénurie de soignants, y compris les grands hôpitaux universitaires contraints d'avoir au moins 120 services comme Bordeaux, Toulouse et Gournoble.

Avertissement au président François Brown à la demande d'Emmanuel Macron lui-même.

Sans attendre de conclusion, les cadres ont déjà fait des premiers pas début juin, notamment en doublant le paiement des heures supplémentaires dans les hôpitaux et en « faisant de l'exercice immédiatement » pour les élèves infirmiers et aides-soignants. -Soignant scolaire.

Dès lors, le chef du gouvernement a complété l'ordonnance par d'autres "réponses à court terme", à commencer par une "compensation complémentaire" pour les équipes de nuit, "le double de l'augmentation des effectifs soignants" et une augmentation de 50%. . Pour les gardes-médecins.

La Première ministre Elisabeth Borne et la ministre de la Santé Brigitte Bourguignon visitent le service hébergeant la hotline du Samu à l'hôpital René-Dubos de Pontoise, le 1er juillet 2022 (POOL/AFP - Geoffroy Van der Hasselt)
La Première ministre Elizabeth Borne et la ministre de la Santé Bridget Bourguignon ont visité le service hébergeant la Sam Hotline à l'hôpital René Dubo de Pontoise le 1er juillet 2022. AFP-Geoffroy Van der Hasselt)

Un moyen de "reconnaître les situations difficiles lors du travail de nuit", mais d'abord "testé pendant 3 mois" avant d'atteindre la durabilité. ..

Les médecins libéraux ont également le droit de "si vous accueillez une personne qui ne fait pas partie de votre patientèle, majorez votre consultation de 15€" et de "vous conseiller de prendre en charge ceux qui ne sont pas programmés". M. Bourne a ajouté.

-"Soulager la pression"-

Au-delà de ce soutien financier, tous les moyens pour "mobiliser tous les professionnels de santé" et pallier les urgences sont bons : Débloqués pour les structures médicales, pharmaciens, kinésithérapeutes, et autres soignants qui sont autorisés à poursuivre les "Procédures promues" pour que les médecins à la retraite reprennent du service, "Ouvert le samedi matin" Une nouvelle loi, "Par exemple, le renouvellement des ordonnances pour les soins chroniques".

La Première ministre Elisabeth Borne et la ministre de la Santé Brigitte Bourguignon visitent les urgences de l'hôpital René Dubos, le 1er juillet 2022 à Pontoise, près de Paris (POOL/AFP - Geoffroy Van der Hasselt)
La Première ministre Elizabeth Borne et la ministre de la Santé Bridget Bourguignon visitent les urgences de l'hôpital René Dubos à Pontoise près de Paris le 1er juillet 2022 (POOL / AFP) -Geoffroy Van der Hasselt)

Cependant, augmenter l'offre ne suffit pas et la demande doit diminuer. Même si Sam est le premier recours, "tout le monde veut prendre le réflexe du 15 et ne pas venir systématiquement aux urgences", a déclaré le Premier ministre, "il est impossible pour les hôpitaux de se réunir". Tous les besoins de soins des Français. »

Un point important pour le Dr Emmett Brown, qui a estimé vendredi sur RTL, est que "ce message va permettre de réduire la pression sur les services d'urgence à partir de la semaine prochaine dans les zones difficiles".

Néanmoins, il a prédit que "le nombre d'appels est très susceptible d'augmenter" et a pensé que "l'augmentation du nombre d'assistants de répartition médicale" devait répondre. La principale suggestion de son rapport que M. Bourne s'est bien gardé de mentionner explicitement sans le revendiquer est le filtrage généralisé des urgences par Sam.

Cette mesure a été critiquée par certains médecins urgentistes, dont l'emblématique Dr Patrick Pelloux, qui avait précédemment dénoncé "l'effondrement des services publics" qui pourrait provoquer "une mort inéluctable." Est entre les mains de chaque hôpital.

Le gouvernement a également immédiatement professé un simple appel du président Frederick Valletu de la Fédération hospitalière française (FHF) le mois dernier.

Toutefois, ce dernier s'est dit partiellement satisfait du Premier ministre dans un communiqué, estimant qu'il "pouvait apporter la réponse qui s'imposait". Cependant, a-t-il dit, "il s'agit de mesures à très court terme et qui doivent être complétées par des mesures ambitieuses dès la rentrée".