Le Tribunal Administratif de Montreuil a débouté l'Association MyMaraude. L'association MyMaraude a appelé à ce que les réfugiés de Josette-et, femmes et enfants clandestins, principalement de Côte d'Ivoire ou du Mali, soient relogés au Gymnase municipal de Bagnolet. - Parc Maurice Audun. La mairie de Bagnolet demande aussitôt son expulsion du parc municipal.
Fin juillet, ils ont été hébergés d'urgence par l'État lorsqu'ils ont été installés dans un camp de fortune formé sur un sentier situé en bordure du parc de Giran. Bagnolet. 317 personnes ont été confirmées à ce premier camp. Réfugiés, ils se sont éparpillés dans plusieurs gymnases de la Seine-Saint-Denis. Une trentaine de femmes et une vingtaine d'enfants, majoritairement ivoiriens ou maliens, étaient détenus au gymnase Jean-Renaud de Bagnolet jusqu'à leur expulsion définitive le 4 août. Selon l'association MyMaurade, certaines familles ont depuis été relogées en province sans avoir obtenu de solutions d'hébergement. Ils se sont réfugiés dans ce nouveau parc après avoir été chassés de la voie publique le 12 août.
"Nous sommes dégoûtés que le tribunal n'ait pas annulé sa décision de les interdire d'accès au gymnase. La présidente de l'association MyMaraude, Yasmine Boussalemregrette C'est d'autant plus choquant que la ville de Bagnolet a rapidement annoncé qu'elle avait déposé une demande pour les expulser du parc où elles venaient de trouver refuge. Tant pis ! Ces femmes fuyant la violence dans leur propre pays sont rejetées comme la peste. » […]
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