DÉCRYPTAGE- Sous la houlette du président Tony Parker, l'Asvel, qui affronte Monaco dans un choc de Betclic Élite ce dimanche (17h), a conforté sa place de plus grand club du basket français.
Les yeux des cinq continents sont tournés vers l'Hexagone, rivés sur l'encombrante silhouette de Victor Wembanyama. Et pendant ce temps, l'Association sportive de Villeurbanne Éveil lyonnais, alias Asvel, écrit son histoire. Celle d'un nouvel âge d'or, après sa période faste entre 1949 et 1981 (15 titres de champion de France). Celle du plus grand club du basket français, à ne plus en douter.
Si l'Asvel décroche une 4e couronne nationale d'affilée cette année, l'exploit sera inédit dans un championnat vieux de 102 ans. Dans le même temps, il est l'un des 12 clubs à disposer d'un siège permanent en Euroligue, on y reviendra. En bref, il rayonne, il domine. Comment cet historique de la balle orange basé à Villeurbanne, commune voisine de Lyon, est-il devenu l'ogre incontesté du basket bleu blanc rouge ? Les raisons sont multiples. Pour la plupart, elles trouvent leurs racines chez un homme : Tony Parker.
Tony Parker, la locomotive de l'Asvel
Le changement de dimension, «je crois que c'est dû à Tony. Depuis qu'il est arrivé…
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