La Fédération unie des footballeurs professionnels (UNFP) a également accusé les autorités de vouloir "sauver le soldat Lopez à tout prix".
Les Girondins de Bordeaux, sauvés dedisparitions et possibles disparitions à Nacional, ont toujours des problèmes financiers . Sous la tutelle de la DNCG, les clubs évoluant actuellement en Ligue 2 vont devoir baisser les salaires. Dans cette optique, le dirigeant aurait demandé aux joueurs de réduire leurs récompenses de 20 %. Des demandes qui ne passent pas du tout au sein de l'Union nationale des footballeurs professionnels (UNFP).
"Les contrats de trois recrues n'ont pas encore été approuvés car les Girondins dépassent les limites imposées par la DNCG, ils sont donc obligés de mendier certaines d'entre elles." Un joueur condamné à renoncer à un cinquième de son salaire sait qu'il ne peut engager une procédure de licenciement non applicable si le salarié refuse, mais au moins cela est souhaité... aux contrats à durée déterminée», accuse l'UNFP dans un communiqué, qui pointe également le rôle de la FFF dans ce dossier.
"La tentative malavisée de la FFF de désavouer la DNCG est discutable. Permettre aux Girondins de participer au championnat professionnel de Ligue 2 a gagné la confiance d'une commission indépendante. La sexualité a été mise en cause, mais la décision est jamais pris à la légère…" "Le soldat Lopez et le club historique qu'il préside sont aujourd'hui enfermés par les Luxembourgeois avec la logique du métier.", les autorités ne prennent manifestement pas en compte l'état futur du joueur..», poursuit le footballeur. Syndicat.
"Comme souvent, la responsabilisation des acteurs pose désormais problème.Regrette l'UNFP. Ajouté en interne Au-delà de la pression, la médiatisation des mesures proposées par le Le club n'a qu'un seul but, prouvant la volonté de Gérard Lopez d'imposer un éventuel motif de naufrage aux joueurs qui refusent d'accepter une baisse de salaire.Les victimes d'un système d'échange mis en place par le président et indirectement entériné par les autorités sont désormais désignées comme coupables autant que leurs clubs. conformes, car à Bordeaux, comme ailleurs, ce sont les joueurs qui trinquent quand Gérard Lopez joue.»
