27/06/2022
"Le but de cette balise était d'éliminer les clients. Si vous avez un réputation équilibrée et sont absents (...), vous ne pourrez pas vous protéger et vous serez de retour et risqué », explique Me Rabah Laraba, un avocat du sein masculin sur le tag. Explique.
Le client de Me Laraba est actuellement dans le sud de la France et ne peut pas se rendre à Brest en raison d'un contrôle judiciaire strict. Il a été mis en examen pour une fusillade à Brest en 2019 et a déjà passé un an en détention provisoire à Rennes dans ce cadre et a été libéré sous contrôle judiciaire en octobre 2020. Rizière.
Mon client a l'idée d'insulter l'identité des policiers, d'insultes publiques, de mettre en danger la vie d'autrui, et de commettre des crimes et délits, mais pour l'instant X j'ai décidé de porter plainte contre. précise Lava Laraba (...).
Remarque : A sa demande, le policier présumé responsable du tag a été détaché auprès d'un autre service du département.
Télégramme
19/05/2022
L'enquête administrative menée par la Sûreté du Finistère a été ouverte au sujet de'. Agent soupçonné d'être impliqué dans un tag provocateur dans le quartierhautement sensiblede Pontanen.
Le policier en question sera le chef de la Bac (Force Anti-Crime). Lors de la patrouille du 23 décembre, il aurait tagué les murs du quartier de Pontanen avec " Getoar Nike Ponta ". Une formule mystérieuse que les policiers de Brest nous déchiffrent : " Getal est le surnom d'un chef de quartier en haut de la ville 3 sous l'angle de l'inconduite. Le message est provocateur et semble pour dire qu'il a été remis à l'ennemi ".
En effet, quelques jours plus tard, la photo a circulé : elle montre l'homme écrivant le premier message de dos. Et jetez un œil à ses armes de service et ses gilets pare-balles. Selon les policiers,ce tag pourrait être à l'origine de la flambée de violence qui a frappé le quartier de Pontanen début janvier 2022. (…)
" Votre patron doit venir porter plainte pour outrage public ",La réaction du voisinage maintenant équipé d'un observateur qui avait peur.
Télégramme
