La semaine dernière, la chambre d'instruction de la cour d'appel de Paris a rendu un avis défavorable sur l'expulsion de 10 anciens extrémistes d'ultra-gauche vers l'Italie au fil des ans. Cependant, le Parquet vient de porter plainte auprès de l'Hôpital de la Destruction. Et c'est Emmanuel Macron lui-même qui a remis les pièces dans la machine. En tant que témoin du sommet de l'OTAN à Madrid, le président a trahi à plusieurs reprises la langue nationale française connue sous le nom de "doctrine Mitterrand" depuis les années 1980. Son intervention constitue"une pression politique inacceptable". « Où est la séparation des pouvoirs ? C'est un recul,accuse-t-elle dans une interview à la presse italienne Adnkronos. Les droits sont par ceux qui devraient en être les garants. Piétinés. »
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