Immobilier.
Y vivre est un logement confortable et abordable : Dans la capitale belge, de plus en plus de Français représentent la plus importante communauté étrangère devenue. Ce n'est pas seulement un stimulant pour l'enthousiasme, car cette population est soupçonnée d'influencer le marché immobilier en croissance.
"Il y a quelques années j'ai fini Quand j'ai décidé étudier le design industriel au lycée de Lille, raconte Quentin Jager, 26 ans. Puis je suis venu dans une école à Paris ou ici, [École supérieure des arts visuels] j'ai choisi d'aller à Lacumble . Je n'y ai pas pensé depuis longtemps. Depuis, j'étudie et je vis à Paris. Et franchement, je pars bientôt. Je n'ai pas vu !"annonce-t-il avec un sourire.
Quentin n'est pas le seul citoyen français à s'être installé définitivement après des études à l'étranger dans la capitale belge. Une étude récente de l'Université Libre de Bruxelles(ULB) a calculé que le nombre de Français y vivant a doublé en une vingtaine d'années. Avec environ 67 111 000 représentants, la nationalité française représente 5,3 112 % de la population bruxelloise et forme la plus grande communauté étrangère à Bruxelles.
À Bruxelles, un ans sur dix, âgé de 25 à 29 ans, est de nationalité française. De plus, il y a environ 10 et 000 000 Français diplômés du supérieur. Par exemple, l'ULB regroupe 13 % des inscrits en 2016. À l'Université de Bruxelles, seuls 3 % des inscrits en 2019 venaient desPays-Bas. C'est aussi un pays voisin avec une langue commune. "A Lacumble, le nombre d'étudiants français est bien supérieur à la moyenne,explique Quentin Jaeger.Il y a quelques années, ils étaient trop nombreux, alors la direction m'a fait craindre ce phénomène. "
Flambée des prix
L'ULB et les communes autour de La Cambre comptent une proportion de Français qui y vivent. Certainement connu pour être élevé : 13 % 11,5 % pour Ixel, 10,7 % pour Yukkuru, 10,7 % pour Sanzil. A 18 %, les quartiers du Châtelain et de la place Georges Brugmann remportent la palme.
Pourtant, les logements dans ces communes au sud de la capitale européenne méritent leur pesant d'or, alors cette heureuse communauté française n'est pas seulement composée d'étudiants aux revenus irréguliers. Ainsi, le prix moyen d'une maison est de 666 000 euros pour Uccle et de 690 000 euros pour Ixelles. Au fait, à l'ouest de vi – pas si chic – dans la ville d'Anderlecht,
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De Standaard (Bruxelles) Inauguré en 1918, le journal de référence sur l'établissement de la Flandre Progressivement s'est éloigné du monde catholique et du mouvement flamand- , plus précisément du Parti social-chrétien flamand, arrivé au pouvoir en Belgique de 1945 à 1999. ..
Dès le début le 4 décembre 1918 , en haut de la première pageAVV-VVK("Allesvoor Vlaanderen, Vlaanderen voor Christus","Tout pour la Flandre, la Flandre pour le Christ"). Cette référence a disparu en 1999 dans pour rafraîchir et rajeunir le lectorat.
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