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50 ANS DU POINT. Le patron du constructeur automobile Stellantis, adepte d’une détermination sans faille, nous livre ses solutions pour tenir bon.
Je suis honoré de pouvoir contribuer à la célébration de l'anniversaire du Point, un magazine de référence et acteur des débats de notre société au cours des cinquante dernières années. Le titre du premier éditorial plein de sens de Claude Imbert a été écrit dans la dynamique des Trente Glorieuses – on ne parlait pas encore du premier choc pétrolier – et prend une dimension nouvelle dans le contexte chaotique ambiant dans lequel nous opérons avec nos équipes et dans lequel nous vivons en tant que citoyens. L'histoire ne se répète pas, elle s'amplifie et je souscris totalement à l'état d'esprit que ce titre inspire. Il est en parfaite résonance avec celui de Stellantis, l'entreprise que j'ai le privilège de diriger et que je traduirais par « Never Ever Give Up ! ».
Plus que l'optimisme bé...
Vous lisez actuellement : Carlos Tavares – Non à l’optimisme béat !
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