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Les réseaux sociaux «génèrent de la nervosité, de la contrariété et affectent le sommeil«, souligne Caroline Rouen-Mallet, chercheuse à l'université de Rouen.
Les réseaux sociaux «génèrent de la nervosité, de la contrariété et affectent le sommeil«, souligne Caroline Rouen-Mallet, chercheuse à l'université de Rouen.
Les réseaux sociaux «génèrent de la nervosité, de la contrariété et affectent le sommeil«, souligne Caroline Rouen-Mallet, chercheuse à l'université de Rouen. Rawpixel.com / stock.adobe.com

TÉMOIGNAGES - Une fois l'addiction installée, difficile de se séparer de son smartphone. Certains s'y sont essayés et ont confié leur expérience au Figaro.

«Dès que je patientais ne serait-ce que trente secondes, j'allais sur les réseaux sociaux. Je passais 8 à 9 heures par jour sur mon téléphone portable», se remémore Sevan, 24 ans. À l'été 2021, le jeune homme coupe tout durant un mois : «Lors d'une période de chômage, j'étais en pleine remise en question et j'en avais assez de voir la “belle vie” des autres.»

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