Diplomatie.
Malgré le risque de se voir désigné comme l’instigateur du mouvement contestataire, Washington appuie ouvertement les Iraniens révoltés par la mort de Mahsa Amini. L’équipe du président Joe Biden dit avoir tiré les leçons de la réaction trop prudente de Barack Obama en 2009.
“La dernière fois que l’Iran a vécu des vagues de manifestations après la mort d’une jeune femme tuée en marge d’un rassemblement contre le pouvoir, en 2009, [le pays a connu d’autres manifestations d’ampleur en 2019], Barack Obama avait hésité à soutenir le mouvement d’opposition, de crainte que Téhéran n’en profite pour clamer que la CIA était derrière la mobilisation”, rappelle The New York Times.
“Treize ans plus tard, dans des circonstances extrêmement similaires, la ligne adoptée par le président Biden est tout autre.”
L’ancien vice-président d’Obama “a publiquement soutenu les manifestants dans son discours à l’ONU, la semaine dernière”, rappelle le journal de centre gauche. “Les États-Unis ont imposé sans tarder des sanctions contre la police des mœurs iranienne.”
Les renseignements américains mobilisés pour permettre l’accès à Internet ?
En outre, Washington a pris des mesures pour permettre à ceux et à celles qui prote
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