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De gauche à droite : Éric Ciotti, Aurélien Pradié et Bruno Retailleau.
De gauche à droite : Éric Ciotti, Aurélien Pradié et Bruno Retailleau.
De gauche à droite : Éric Ciotti, Aurélien Pradié et Bruno Retailleau. Photomontage Le Figaro

ENTRETIENS CROISÉS - Second tour, refondation, ligne politique, primaire, choix du candidat à la présidentielle… À quelques heures du premier tour, Le Figaro donne la parole aux candidats de la droite.

Quelles différences entre les candidats?

LE FIGARO. -Un mot pour résumer votre campagne?

Éric CIOTTI. - Déterminée et à droite ! Comme l'année passée, j'ai voulu sillonner cette belle France que j'aime tant, pour échanger avec les militants de notre famille politique et prendre le pouls du pays. J'ai vu des Français tristes, déçus, mais surtout en colère. En colère parce qu'ils regardent la France sombrer chaque jour un peu plus vers le déclin et le déclassement. Notre pays est affaibli de l'intérieur et menacé de l'extérieur. Les coupures d'électricité annoncées soulignent l'effondrement français et la faillite de ceux qui nous gouvernent, sans vision ni courage. Que restera-t-il du bilan de messieurs Hollande et Macron qui depuis plus de dix ans ont gouverné la France ? Plus d'immigration, plus d'insécurité et plus d'impôts. Dire les choses est la seule possibilité de les corriger mais au-delà, je veux rallumer la flamme de l'espoir que je sens vaciller chez nos concitoyens qui doutent de la politique.

Aurélien PRADIÉ…

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Le Figaro

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