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Sous la pression de Christian Eriksen, Antoine Griezmann fait une passe à un coéquipier lors de la victoire de la France (2-1) contre le Danemark, samedi à Doha. Grigory Sysoev/SPUTNIK/SIPA

ANALYSE - Le champion du monde 2018, déjà qualifié pour les huitièmes de finale avec les Bleus, effectue un début de compétition séduisant au Qatar.

Samedi soir, dans les travées du stade 974 de Doha, Didier Deschamps et ses Bleus viennent d’assurer la qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde, après une deuxième victoire contre le Danemark (2-1). Les effusions de joie se font entendre dans les vestiaires, les couloirs et aussi devant les nombreux micros tendus. Kylian Mbappé, auteur d’un doublé et fabuleux dans son rôle de tueur à gages, est élu homme du match.

Dans l’ombre, un autre joueur l’aurait tout autant mérité: Antoine Griezmann. Ne comptez pas sur lui pour en prendre ombrage. Pas le genre de la maison. Symbole d’une équipe de France conquérante, collective et guidée par un état d’esprit dont les similitudes avec 2018 se font nombreuses, «Grizou» a éclaboussé de tout son talent la victoire contre le rival danois. Il a tout simplement offert un récital. Tout en délicatesse, douceur et joie de vivre. Du velours.

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