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Gareth Southgate a effectué un travail conséquent pour régénérer une sélection qui n’a plus rien gagné depuis… le Mondial 1966. WOLFGANG RATTAY/REUTERS

DÉCRYPTAGE - Avec une demi-finale lors de la Coupe du monde 2018 et une finale à l’Euro, l’an dernier, la méthode de Gareth Southgate porte ses fruits.

Envoyé spécial à Doha

L’Angleterre est de retour au premier plan. Un sacré accomplissement quand on se souvient du champ de ruines dont a hérité Gareth Southgate à son arrivée comme sélectionneur, en 2016, après une élimination en 8es de finale de l’Euro face à l’Islande (1-2). Un cadeau empoisonné, pensait-on à l’époque pour cet ancien défenseur international (57 sélections, 2 buts), passé pendant trois ans sur le banc des Espoirs avant de prendre les rênes de l’équipe A.

Joueur frileux, le natif de Middlesbrough l’est tout autant en tant que coach si vous demandez leur avis aux sujets de Sa Majesté. Ce qui a valu au technicien de 52 ans bien des critiques… «Apparemment, il n’est pas spécialement apprécié ou mis en valeur dans son pays», relève Didier Deschamps avant ce choc Angleterre-France, samedi, en quarts de Coupe du monde, évoquant «un très bon sélectionneur» et quelqu’un qu’il «apprécie beaucoup humainement».

À lire aussiFrance-Angleterre, la longue histoire d’une rivalité qui s’est adoucie au fil des ans

Des critiques, oui. Mais du respect aussi. D’autant que Southgate a effectué…

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Le Figaro

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