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L’équipe du Japon célèbre sa victoire face à l’Espagne, le 1er décembre dernier. ADRIAN DENNIS/AFP

DÉCRYPTAGE - Malgré les performances et les mérites de ces équipes, il demeure un regard condescendant venu d’Europe.

Un frémissement à l’est. Depuis le début de la Coupe du monde, les six membres de la Confédération asiatique de football (AFC) ont décroché sept victoires, et pas des moindres, avec celles du Japon face à l’Allemagne et à l’Espagne (2-1 à chaque fois), de la Corée du Sud face au Portugal (2-1) ou encore de l’Arabie saoudite sur l’Argentine (2-1). Sans oublier celle de l’Australie - rattachée artificiellement à l’Asie lors des éliminatoires - contre le Danemark (1-0).

Immense par sa superficie géographique et sa population de plus de 4 milliards d’habitants, l’Asie l’est aussi par la diversité de jeu qu’elle propose en termes de football. Difficile, pour ne pas dire impossible, de comparer ce qui est mis en place dans les sélections moyen-orientales et leurs homologues d’Asie orientale. Ces dernières, représentées sur cette Coupe du monde par le Japon et la Corée du Sud, joueront leur place en quarts de finale ce lundi, la première face à la Croatie (16 heures) et la seconde contre l’ogre…

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Le Figaro

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