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Face au Danemark, Kylian Mbappé a inscrit son deuxième but sur une passe d’Antoine Griezmann. FRANCK FIFE/AFP

Déjà qualifiés pour les huitièmes de finale, les joueurs de l’équipe de France savent que la route vers le titre est encore longue.

Ne demandez surtout pas aux joueurs de l’équipe de France s’ils trouvent des similitudes entre le groupe de 2022 et celui de 2018. Vous auriez droit à une réponse convenue, ennuyeuse, préparée, selon laquelle il est inutile de comparer les époques. «C’est une nouvelle histoire», «ce sont d’autres joueurs», «les contextes sont différents»… Voilà le discours servi par Didier Deschamps et ses hommes aux nombreux médias présents au Qatar. Une position qui s’entend et témoigne aussi de la volonté de ne pas s’enflammer trop vite. Comme dirait l’autre, comparaison n’est pas raison.

Après deux matchs, deux victoires, une qualification en poche et une première place quasiment assurée (il faut que l’Australie atomise le Danemark et dans le même temps que la France perde largement face à la Tunisie pour perdre sa place de leader), le tableau est tout simplement parfait pour les tenants du titre. L’Argentine, l’Angleterre, la Belgique ou encore l’Allemagne rêverait d’une telle situation. Ne boudons…

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