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D’éventuelles coupures d’électricité, d’une durée limitée, pourraient avoir lieu cet hiver dans une partie de la France afin de délester le système électrique. PASCAL ROSSIGNOL/REUTERS

DÉCRYPTAGE - Le gouvernement envisage de réaliser des délestages de deux heures cet hiver si nécessaire. Un «mini-black-out» qui perturberait la vie quotidienne des Français.

Des feux tricolores inopérants, des trains à quai, des ordinateurs et des téléphones inutilisables… Telles pourront être les conséquences de ces délestages de deux heures, programmés et localisés dans le pays.

Pour limiter les dégâts provoqués par ces coupures d’électricité, les préfets vont être en première ligne. Une circulaire leur a été adressée ce mercredi pour les préparer au jour où sera déclenché un «mini-black-out» sur une partie de leur département. Un seul objectif est visé: tout faire pour que ces coupures se déroulent sans drame. Mais le dispositif soulève déjà questions et inquiétudes.

Des services de secours injoignables

Les téléphones fixes et portables seront notamment inopérants durant les délestages, toutes les antennes relais fonctionnant avec de l’électricité. Il sera donc impossible de joindre les services de secours. Ni le 17, ni le 18, ni le 15 ne fonctionneront. En solution alternative, le gouvernement insiste sur l’usage du 112, qui permettra de capter plus facilement une antenne voisine installée sur…

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Le Figaro

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