France
This article was added by the user . TheWorldNews is not responsible for the content of the platform.

Covid-19 : La fin du masque forcé dans les transports en commun était une « erreur », juge Patrick Pelloux

Pour le président de l'Association française des médecins urgentistes, cette décision a été prise au moment "d'euphorie" de l'ancien ministre de la Santé Olivier Belan pendant la campagne législative.

Les contaminations se sont multipliées et plusieurs intervenants ont été identifiés avec la santé des cadres alors que plus de 205 000 nouveaux cas de Covid-19ont été enregistrés mardi. Nous souhaitons que les règles soient relancées. Ce mercredi matin, Patrick Pelloux, le patron de l'Association française des médecins urgentistes (AMUF), a ainsi appelé au retour du masque obligatoire dans les transports.

Il a ajouté que la fin de cette exigence était "une erreur" et que la décision a été prise au moment de "l'euphorie" de l'ancien ministre de la Santé. , Olivier Véran,Pendant la campagne législative. "J'ai dû garder le masque au moins en transit" et Patrick veut trouver un "compromis" pour revenir à la situation d'il y a quelques années.・ Pensa Pelloux. D'ici quelques mois, en faisant revivre les masques obligatoires dans les transports en commun, en les portant volontairement devant des personnes fragiles, et en réappliquant le gel hydroalcoolique "partout". Vous pourrez éviter la nouvelle captivité "Horreur". , j'ai fait appel à mon médecin lorsqu'une nouvelle variante est apparue.

Cette question de masque obligatoire est source de division. Pour l'heure, les autorités ont demandé la coresponsabilité et ordonné aux voyageurs de le porter dans les transports et dans les zones surpeuplées - consignes imposées par le nouveau ministre de la Santé, François Brown, au parlement mardi - qu'il n'impose pas. La vision conflictuelle de Patrick Pelloux  : "Nous avons des gens disciplinés et courageux qui comprennent les choses. [...] Même si nous faisons appel au bon sens des Français. Je n'y crois pas un instant. Quand on leur dit qu'il faut faire ça, je fais confiance aux Français. Les gens, vous ne leur dites rien, ils ne font rien", a-t-il insisté mercredi matin. En

, son projet de loi « est devenu provisoirement un système de surveillance et de sécurité sanitaire dans la lutte contre le Covid-19», remis aux ministres cette semaine. mais l'administration n'envisage pas de remettre le masque obligatoire. Mais cela peut changer lors du débat parlementaire, ou si l'épidémie accélère le processus de passage en France. A Nice,Christian Estroji a conduitet annoncé le retour du masque en transit.

Pour la réinsertion des soignants non vaccinés

Face à la crise hospitalière, les urgentistes réintègrent à nouveau les soignants non vaccinés pour le Covid-19 que j'ai supplié et suspendu depuis septembre dernier. "Ici, la reprise des lits est une priorité, donc nous devons les réintégrer. Cela va créer des milliers de personnes, ce qui équivaut au nombre de lits à rouvrir40}", a-t-il déclaré. Cependant, les représentants de l'Amfu ont ajouté que "lavaccination forcée dans le recrutement des soignants" pourrait devoir être mise sur la table.

Les dirigeants continuent de s'opposer à cette piste, estimant que le moment n'est pas encore venu. Face aux agents de la commission juridique, François Brown a estimé que "12 000" personnels ont été suspendus. Cela comprend le personnel technique et administratif ainsi que les soignants. Dans ce cadre, la FHF est également réticente  : il n'y a pas de cohorte de personnel non vacciné, et nous avons récemment analysé une organisation représentative des hôpitaux français. "Environ 4 000 à 5 000 professionnels, soignants et non soignants de tous secteurs d'activité" étaient encore suspendus au 1er avril et sont des agents de la fonction publique fédérale ou hospitalière. On estime à 0,3 % le nombre total de. Une goutte d'eau, et certainement pas assez pour sauver l'hôpital.