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Une infirmière prépare une dose du vaccin Moderna contre la maladie à coronavirus (COVID-19) à l'hôpital général Glangwili de Carmarthen, au Pays de Galles, le 7 avril 2021.
Une infirmière prépare une dose du vaccin Moderna contre la maladie à coronavirus (COVID-19) à l'hôpital général Glangwili de Carmarthen, au Pays de Galles, le 7 avril 2021.
Une infirmière prépare une dose du vaccin Moderna contre la maladie à coronavirus (COVID-19) à l'hôpital général Glangwili de Carmarthen, au Pays de Galles, le 7 avril 2021. Jacob King/Pool via REUTERS/File Photo

LA VÉRIFICATION - À la suite d'une décision de la cour d'appel de Paris concernant une sophrologue de l'Institut Curie, son avocat estime que ce cas pourrait servir à tous les soignants du privé suspendus.

Une décision que son avocat qualifie d'«historique». Jeudi 1er décembre, la cour d'Appel de Paris a donné son feu vert à la réintégration d'une sophrologue de l'Institut Curie*, centre français privé de recherche et de lutte contre le cancer, non vaccinée contre le Covid-19 . Elle avait été suspendue en septembre dernier lorsque l'obligation vaccinale pour les soignants était entrée en vigueur. L'institut Curie avait alors suspendu son contrat et par la même occasion le versement des salaires. Selon son avocat Tarek Koraitem, joint par Le Figaro, cette sophrologue «ne pouvait pas rechercher d'emploi» car elle «était encoreliée à l'Institut Curie».

Elle a donc décidé de contester sa suspension devant le Conseil de prud'hommes de Paris, qui a statué en sa faveur le 9 juin dernier, estimant que l'employeur avait agi de manière «arbitraire». «Ici, le juge affirme que l'Institut Curie n'a pas exécuté le contrat de travail de façon loyale. Il n'a pas pu prouver qu'il avait essayé de trouver un…

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