Selon le syndicat des sages-femmes ONSSF et l'association Santéendanger, plus de 10 % des obstétriciens-gynécologues français ont été contraints de réduire leurs activités. .
DStress supplémentaire pour les futurs parents. En raison de la pénurie de soignants qui touche l'ensemble des services hospitaliers ces derniers mois, les accouchements sont inévitables. 460 Au moins 10 % des unités d'obstétrique françaises sont en situation de " fermeture partielle ", en raison d'une pénurie de soignants.. Ces établissements ont été contraints de limiter ou de sacrifier les activités prénatales et prénatales pour se concentrer sur l'accouchement, ont indiqué vendredi le syndicat des sages-femmes ONSSF et l'association Santéendanger.
Des chiffres nettement inférieurs à la réalité : Sur les naissances de 461 , 122 ont été réalisées par l'ONSSF et Santéendanger courant juin. J'ai répondu à l'enquête. 1et26 , et 49 " déclare une fermeture partielle ", c'est-à-dire " 40 % de répondants », ont déclaré deux organisations dans un communiqué.
Lits fermés en néonatologie
Ces structures ont été réduites faute d'effectifs suffisants : Suppression des consultations (suivi de grossesse, échographie), " Cours de préparation à l'accouchement ", " Fermeture du lit du nouveau-né ", " Service de grossesse morbide ", et même Suite " couche " de l'aile.
Trop de choix obligatoires " entraîne des transferts vers des structures adjacentes ", mais les trois maternités concernées sont " c'est leur département {. C'est la seule dans "134}" . Camille Dumortier, contactée par le président de l'ONSSFAFP, les a désignés comme originaires de Nevers, Guéret et Mayotte.
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Pointant la difficulté de remplacer les sages-femmes libérales pendant les vacances d'été, l'ONSSF et Santéendanger ont déclaré : " Cet été est périnatal et gynécologique. "L'offre sera réduite" {"142}" et " Détériorée procédure (cette) affectera lessoins des femmeset des nouveau-nés " Lament.100 %