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Direct – Affaire Sophie Tan. Jean-Marc Riser a eu beaucoup de sédatifs et d'anesthésiques

Dans Reiser, des reportages "tordus" et "intrigants" : les souvenirs d'hier

Jeudi, c'est l'histoire de témoins et d'experts que je me suis consacré à écouter. Côté témoin  : Un piéton qui a retrouvé la dépouille, deux femmes qui ont répondu à l'annonce du logement de Jean-Marc Riser à Luboncoin, et deux anciens voisins de son immeuble du 1rue Perle à Syltigheim. .. Côté professionnel, le premier est un policier scientifique et deux psychologues spécialisés dans les téléphones portables.

Hier matin

■ Un piéton dans la forêt de Rossheim près de Glendelbrook

Hier matin, la cour d'assises a trouvéune promenade dont j'ai pu entendre le voix de la personne. Le corps de Sophie Le Tandans la forêt de Rossheim près de Glendelbrook, le 23 octobre 2019. Ce dernier a dit : "Le champignon a fait [qu'il] a trouvé le crâne ." "J'ai pu te ramener Sophie", il glisse et marque.

■ Experts scientifiques de la police des réseaux de téléphonie mobile

Surtout,Confie désormais les spécialistes de la brigade des réseaux de téléphonie mobileSciences nationales d'Ecully Appartenant aux services de police (près de Lyon), il a voyagé avec Sophie Le Tan et Jean Marc Riser d'après les éléments véhiculés par les enquêteurs. 

Le téléphone de l'accusé " a déclenché un relais vers 23h30 le vendredi 7 septembre 2018, jour de la disparition [], Après cela, le réseau jusqu'à vers 1h30 du matin." Selon son analyse, cela accepte l'hypothèse selon laquelle Jean-Marc Riser aurait été banni dans la forêt de Rossheim la nuit de la disparition de Sophie Le Tan.

■ Deux jeunes femmes cherchant un logement via Luboncoin

Enfin,Deux jeunes femmes cherchant un logement via LuboncoinTémoignaient. Tous deux expliquent que les annonceurs sont " fermés " et " fuyants ", ne répondent pas aux questions sur le studio, et font des réservations dans leur département plutôt qu'à leur adresse. Il n'apparaîtra pas. Le premier s'est alors fait insulter... un texto de tentation.

Si vous ne pouvez pas payer le loyer, vous pouvez faire des versements supplémentaires une ou deux fois par mois, comme une analyse psychologique sur le canapé LOL

À Jean-Marc Reiser Un jeune femme qui a répondu à l'une des annonces de location par SMS

" Si vous ne pouvez pas payer le loyer, vous pouvez faire une ou deux analyses psychologiques sur le canapé une à deux fois par mois . ", devait-il lui écrire. Deuxièmement, j'ai créé un lien lorsque j'ai vupasser un élément d'un réseau social lorsque Sophie Le Tana disparu. Elle a tenté de visiter l'appartement de Jean-Marc Riser en août.

Hier après-midi

■ Deux anciens voisins du 1rue Perle à Syltigheim

Deux voisins de Jean-Marc Reiser sont venus témoigner hier après-midi moi. A cette époque, ils vivaient dans le même immeuble au 1 rue Perle à Syltigheim. Tous deux racontent avoir rencontréle vendredi 7 septembre 2018, avec Sophie Le Tan,une jeune femme « souriante »blessée à la main. Le jour où ce n'était pas [l'un des Déclarations-Mark Riser].

Les deux signalent " odeur " dans la poubelle lundi prochain. Le premier est " Impressionnant, mouche géante ". " Étrange, comme laisser un animal mourir pendant quelques jours" Deuxièmement.

"Elle savait où elle a sonné, elle n'a pas sonné au hasard",dit un ancien voisin qui a reconnu une jeune femme sur une photo publiée par sa famille.

■ Deux psychologues experts

Ensuite, ce fut au tour des deux psychologues de témoigner. Tous deux sont revenus sur la vie de Jean-Marc Reiser depuisson enfancejusqu'àsa personnalité. Chez l'accusé, les deux conservent les caractéristiques du " mal ".

" Il essayait toujours d'instrumentaliser l'interlocuteur " et soulignait Carole Rabolini. Pour autant, il ne présente pas de "structure spirituelle " ni ne vit une "horrible explosion de  ", rapporte sa collègue Valérie Dutter-Rabemananjara. La première personne a noté son " attitude dédaigneuse " et "très appréciée " envers sa personne . La seconde est la vision " complotiste " du monde judiciaire et médiatique.

Tous deux ont rapporté à la cour d'assises les propos tenus par l'accusé lors de l'expertise. " Je dois être stupide [pour tuer Sophie Le Tan] et je ne le suis pas ", {71 avant l'aveudu 19 janvier 2021. } J'ai entendu. " Impulse, je n'ai rien eu depuis longtemps ", j'ai copié l'autre.

C'est l'homme qui a approchéavec "froideur" et "séparation" de ce qu'il aurait pu commettre, a analysé plus en détail Carol Labrini. Pour "sa relation avec une femme", " est timide " et est reconnue comme Valérie Dutter-Rabemananjara. " Il s'accroche aux gens qui l'ont choisi."

" Il est retenu, contrôlé et froid." Il n'est pas structurellement impulsif "  ; Il était une personnalité " immaturo-perverse " et conclu respectivement Carole Rabolini et Valérie Dutter-Rabemananjara.