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Droits des femmes : Faut-il inscrire le droit à l'avortement dans la Constitution ?

Faut-il aller plus loin pour protéger le droit à l'IVG en France ? USLa Cour suprême a autoriséÉtats américainsà interdire cette pratique médicale, mais le groupe Renaissance (ex-LREM) a avorté samedi avec marbre de la Constitution française. "Malheureusement, il n'y a rien d'impossible. Les droits des femmes sont toujours vulnérables et régulièrement remis en cause", a expliqué la cheffe de file adjointe de LREMAurore Bergé {8. }. Des mesures pour éviter d'éventuels retournements de situation demain. »

En France, le droit à l'avortement est protégé par la loi du 17 janvier 1975. Ceci est également connu sous le nom de Roybert. "Les récentes élections législatives nous rappellent que l'équilibre politique est fragile et que la loi pourrait être menacée à un moment donné",Journal du Dimanche, 400 avocats. Dont Me Karen Noblinski, Julie Couturier, Vincent Nioré, Rachel - Flore Pardo. Ils ajoutent également que l'arrêt de la Cour suprême américaine "soulève la question de la garantie de ce droit en France, où près de 230 000 femmes ont recours à l'avortement chaque année". Selon eux, « Il n'y a rien de plus urgent que de renforcer ce droit en l'inscrivant dans la Constitution ! »

« C'est le droit le plus élevé » 

Egalité Opinions supérieures partagées par la conseil. Selon cet organe consultatif indépendant auprès du Premier ministre, il est urgent d'"inscrire le droit à l'avortement dans la Constitution française" et de "prévenir les tentatives d'ingérence" dans la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne. A les droits des femmes. "C'est le droit fondamental le plus élevé et il doit être protégé par de bons textes, qui permet aux femmes d'agir dans la société et d'être égales aux hommes", a déclaré la présidente de la Women's Foundation.Je crois aussi en Ann Cecil Merfeld. "Pour nous, la loi simple est fragile et ne symbolise pas ce que sont le droit à l'avortement et la liberté d'autodétermination des femmes", a-t-elle expliqué dans20 minutes.

Vendredi soir, Matilde Panott, chef des agents d'Insoumis, a annoncé qu'il proposerait à l'Alliance Nupes de gauche de "soumettre un projet de loi pour inclure le droit à l'avortement dans la Constitution". L'amendement constitutionnel nécessite l'adoption du même texte par le Congrès et le Sénat, qui doit ensuite être approuvé par référendum. En revanche, si la révision est initiée ou reprise par le Gouvernement, le texte doit également être vérifié par les deux sessions législatives, mais peut être soumis à l'Assemblée parlementaire. 3/5 votes ont été exprimés.

« Est-ce utile au pays ? »

La proposition de LREM d'inscrire le droit à l'avortement dans la Constitution est soutenue par la Première ministre Elizabeth Borne. Bien qu'apparemment unanime au sein nation de classe (sauf pour l'Union nationale), le président du MoDem et allié d'Emmanuel MacronFrançois Bayles'est éloigné dimanche. « À ce stade, est-ce utile pour le pays de voter et d'organiser cette question ? sur BFMTV. « La menace n'est pas encore grande et il faut le faire maintenant. Oui, il serait trop tard pour apporter ce changement à la Constitution le jour où nous aurons un parlement et un Sénat contre l'avortement », conclut Anne-Cécile Mailfert.