Cathy dos Santos
Propagande et faits du gouvernement. des faits durs. Prenons par exemple le numéro de com que Gabriel Attal a soumis pour survendre le budget 2023. , justice, défense, affaires intérieures, transition écologique, cohésion territoriale, agriculture, etc. dévasté. De quoi crier festin en choeur ! enfin presque.
Parce qu'il y a des discours et des faits qui tiennent à Emmanuel Macron et à ses partisans, dont le fameux « en même temps ». Le jeune macroniste a également pris soin de préciser que l'extrême clémence de la directions'est accompagnée d'une baisse générale de "2,5 % en volume." Dès lors, les dirigeants sont en droit de se demander de quel portefeuille vous êtes. va utiliser. Comme nous le savons, la grande chance n'est pas mise à profit. Nul doute que la majorité sortante relancera l'ISF supprimé. Les grandes multinationales des transports et du pétrole n'ont pas non plus à s'inquiéter, l'Assemblée nationale étant très faiblement favorable à l'introduction d'une taxe sur les"super profits"et autres"profits exceptionnels". Selon Gabriel Attal, le projet est "l'enfer financier" de Nupes.
Il y a du libéralisme, et il y a des réalités auxquelles sont confrontées les institutions étatiques et des millions de ménages dans le besoin. Dans le domaine lexical formel, le mot austérité est tabou. Mais comme les années avant le Covid, c'est cette machine de guerre antisociale qui s'appliquera au prochain budget.Après une coupe transversale bien définie, elle saigne un secteur public déjà en souffrance.Les maternités accusent d'innombrables fermetures de maternités , le manque d'attention et les augmentations de salaire. En conséquence, 40 % des professionnels souffrent de burn-out. Ce sont des faits, juste des faits.
La résurgence de l'ISF, supprimée par la majorité déclinante, ne fait aucun doute.
