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Le président conclut vendredi sa visite d'État par une escale en Louisiane, où l'on dénombre 200.000 francophones.
Envoyé spécial à la Nouvelle-Orléans
« Cette vieille cité peut être considérée comme le témoin le plus authentique de la continuité des relations franco-américaines qui remontent au XVIe siècle », écrivait l'envoyé spécial du Figaro le 29 avril 1960, alors que le général de Gaulle s'apprêtait à débarquer à La Nouvelle-Orléans, dernière étape d'un périple de près d'une semaine à travers les États-Unis. Soixante-deux ans plus tard, c'est la même raison qu'invoque Emmanuel Macron pour achever sa visite d'État par une escale dans la plus française des villes américaines.
De Gaulle y avait été ovationné par 300.000 personnes : son lointain successeur n'en demandait pas tant, mais une « déambulation » nocturne annoncée dans Frenchmen Street, au rythme des orchestres de jazz du French Quarter, devait tout de même lui permettre de tester sa popularité. Le chef de l'État a atterri en milieu de journée (début de soirée heure française), avant de s'entretenir avec le gouverneur de…
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