Emmanuel Macronest amer. Le président de la République a regretté d'avoir refusé d'intégrer le "parti du gouvernement" dans "toutes les formes de coalition" lors du lancement du premier Conseil des ministres post-modificationce lundi. Présidente et Premier ministre,Elizabeth Bornea consulté diverses forces politiquesreprésentées par leparlement avant de former cenouveau gouvernement. 52} Nous sommes lundi.
Le chef de l'État a souligné la "période exceptionnelle" à laquelle le nouveau gouvernement doit faire face. Pour notre société, pour nos projets européens, pour notre économie, pour la vie de nos compatriotes. »
"C'est une période exceptionnelle au regard de la transition que nous devons vivre compte tenu de la situation politique du pays", ajoute-t-il, des "défis écologiques" et de la "grande population". . Transition ". "Notre pays a besoin de réforme, de changement, donc cela demande beaucoup d'autonomie et d'ambition de la part du gouvernement (...) et un esprit de responsabilité pour construire des compromis stricts", a-t-il insisté.
"Des changements majeurs dans l'action collective"
"Il faut maintenir le contexte de cette guerre, qui va changer beaucoup de choses", a-t-il déclaré. pas bien intégré dans le débat public français. » Le président a "une action collective" pour reconsidérer "beaucoup de nos politiques" avec "les fonctionnaires élus localement, tous les gouvernements, les entreprises, les associations et les citoyens." Un "changement majeur" a été insisté. Mettre en œuvre des réformes avec un déficit public « soutenable ».
"Pour construire l'indépendance nationale et le progrès de nos compatriotes, il faut savoir investir, transformer et construire, mais le manque de financement couvrira l'indépendance et le progrès du pays. Rarement, c'est de toute façon insoutenable, et la véritable indépendance du pays ne peut se faire sans un changement profond et de nombreuses revendications », a-t-il encore prévenu.