France
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1958, "Libération" du Dr Surimane Asera

Slimane Asselah a été vu vivant dans le sous-sol détenu par des parachutistes dans la première quinzaine d'avril 1957. Après cela, sa famille et son avocat l'ont perdu de vue. En juin 1957, alors qu'il est probablement mort depuis plusieurs semaines, une arrestation politique en France métropolitaine oblige l'armée à dénoncer la prétendue disparition de l'armée d'aujourd'hui.

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En mai 1957, le gouvernement Guy Mollet est chargé de protéger les droits et libertés des individus pour contrer la campagne en cours contre la torture en France métropolitaine. Il est composé de 12 membres éminents et est chargé d'enquêter sur d'éventuels actes illégaux "en Algérie" commis par la police.

À Alger, la Commission se réjouit d'enregistrer les déclarations de responsables civils et militaires sans enquêter sur les familles d'Alger. Ses visites dans des centres de torture comme Elvia ont été annoncées à l'avance, et les détenus en contre-interrogatoire ont été évacués à l'avance par les militaires. Cependant, certaines familles algériennes le défient.

Le 28 juin 1957, le professeur Charles Richet, membre de ce comité, ancien exilé et membre de l'Académie de médecine, reçoit un télégramme. Il a été dépêché de l'Ugema, un syndicat général des étudiants islamiques en Algérie, qui était représenté par Slimane Asselah  :