Alors que la mobilisation de la troisième journée de manifestation contre la réforme des retraites tend à faiblir par rapport à celles de deux précédentes - 757.000 manifestants ont été recensés ce mardi contre 1,27 million le 31 janvier selon l’Intérieur - , le secrétaire général de la CGT n’est pas inquiet. «Il peut y avoir des doutes sur "est-ce qu’on peut faire plier le gouvernement" et je pense même que c’est le président de la République qui est à la tête de tout ça…Il peut y avoir des doutes. Ceci dit, je n’ai pas le sentiment qu’il y ait de résignation dans ceux qu’on croise aux manifestations», indique Philippe Martinez.
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