30 à 50 réfugiés portés disparus après un naufrage dans le sud-est de la mer Égée, Grèce . Athènes a accusé la Turquie d'augmenter la pression sur les migrants à ses frontières.
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Dès l'aube du mercredi 10 août , The Greek les garde-côtes ont opéré au large des îles du sud-est de la mer Égée de Rhodes et de Karpathos à l'aide d'hélicoptères, de patrouilleurs et de pétroliers, avec des dizaines de personnes en péril en haute mer après le naufrage du navire surchargé. Forte houle et plus. Vingt-neuf hommes, pour la plupart des Afghans, des Iraniens et des Irakiens, ont été secourus et transférés vers les îles voisines de Karpathos et Kos, où se trouvent des camps de migrants, selon les autorités grecques. Mais entre 30 et 50 transfuges étaient toujours portés disparus mercredi, selon la police portuaire, qui peinait à déterminer le nombre exact de membres d'équipage du navire qui avait quitté les côtes turques à quelques kilomètres de là.
Selon les premières déclarations des survivants,`` il y avait environ 80 personnes sur le bateau, '', Mais selon leur porte-parole, Nikos Kocalas a été interrogé sur la chaîne de télévision publique ERT et a émis l'hypothèse : }", le navire d'immigrants " est constamment surchargé ". 31} ne portaient pas de gilets de sauvetage.
Pour les migrants bloqués en Turquie voulant rejoindre l'Europe, l'accès aux îles du nord de la mer Égée (Lesbos, Samos et Chios) devient de plus en plus complexe, avec une surveillance des frontières européennes Avec la présence de l'agence Frontex et des garde-côtes grecs , renforcé depuis mars 2020, le refoulement illégal des migrants est devenu quasi systématique. Le Forensic Architecture Research Group n'a que deux ans (mars 2020 - mars 2022).
Lisez également : Articles réservés aux abonnésOu des migrants qui ont déjà été détenus sur un L'île grecque et déportés dans des canots de sauvetage non motorisés se retrouvent souvent volés et maltraités par les garde-côtes grecs avant d'être expulsés vers la Turquie. Cette pratique viole le droit international et la Convention de Genève relative au statut des réfugiés. Athènes a toujours nié avoir eu recours à ces résistances, malgré les enquêtes des ONG et des médias.
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