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En Ukraine, guerre des nerfs autour d'une contre-attaque dans le sud du pays

UkraineSur la ligne de front de près de 900 km qui traverse, elle est concentrée sur une partie des 300 km au sud du pays. , toute attention. Des parties des plaines, des champs de blé et des champs de tournesol ont été brûlés et dispersés avec des villages souvent détruits par des grèves. Dans une région traversée par des fleuves et séparée par un grand fleuve, les forces russes et ukrainiennes se préparent à une bataille décisive.

C'est du moins ce que disent les responsables ukrainiens, une contre-attaque est imminente ou a commencé depuis plus d'un mois. "Je peux vous assurer que la ville de Kherson sera libérée en septembre", a déclaré Serhiy Khlan, conseiller du gouverneur de la région de Kherson, le 24 juillet. La veille,Volodymyr Zelensky, le président Volodymyr Zelensky, a assuré que les forces ukrainiennes avançaient "pas à pas" vers Kherson.

Dans le même temps, cependant, l'armée ukrainienne continue de maintenir l'ambiguïté sur ses intentions. "Spontané, bien sûr. La stratégie habituelle lors des opérations de combat est le silence informatif." la contre-attaque a-t-elle commencé ?

Même Dmitro Pretenchuk n'utiliserait pas ce mot devant le bâtiment de l'administration régionale de Mykolaïv, qui a été complètement ouvert par l'attaque au missile russe du 29 mars. Les représentants de l'administration militaire locale aiment évoquer de mystérieux``ordres des autorités de développer le succès en direction de Kherson'',et``l'aspiration à la victoire.pour s'assurer que Moscou était "maintenant prisonnière de sa propre propagande".

Au lieu d'une contre-attaque éclair, les forces ukrainiennes auraient entamé ces dernières semaines une lente progression vers Kherson, à 40 kilomètres des lignes de front. Une attaque organisée par le lance-roquettes multiple américain Himars contre un dépôt de munitions russe aurait permis de réduire l'intensité des tirs ennemis. Résultat : la ligne de front est restée largement statique ces derniers temps, soit dans la région de Kharkov au nord-est, soit dans la région du Donbass à l'est. Les Ukrainiens attaquent à nouveau le pont Antonivka qui est jeté entre les deux rives du Dniepr au niveau de Kherson pour gêner le mouvement des troupes russes dans la nuit du 8 août.

Bluff ou Faux ?

Si l'attaque avait été retardée depuis longtemps, la déclaration de Kyiv aurait au moins eu un effet : selon un communiqué de presse du ministère britannique de la Défense publié le 6 août,"les forces russes étaient presque Ils convergent certainement. Suden prévision d'une contre-attaque ukrainienne ou en préparation d'une offensive.""Presque tous les parachutistes russes sont déployés non loin de Kriviri",une ville minière à 40 kilomètres du front, affirme l'expert militaire ukrainien Oleg Zudanov. Pour cet officier à la retraite, Kyiv « tend un piège »en attirant les forces russes dans la région.

"Les Ukrainiens crient plus ou moins après les Russes qu'ils sont ici depuis plus d'un mois.Aussi, Phillips P. O'Brien a également expliqué sur Twitter à propos de St. Andrews.Je doute que les Ukrainiens fassent cela parce qu'ils sont sur le point de lancer une attaque massive. Ils font cela. pense que le front de Kherson est un meilleur endroit pour continuer ce qu'ils faisaient dans le Donbass. (…) A Kherson, les Russes sont en danger et avancés, mais les Ukrainiens peuvent opérer plus facilement depuis leurs lignes de front.»

Contre-attaques, bluffs ou feintes, les opérations dans le sud de l'Ukraine sont la porte d'entrée de Kyiv vers la Crimée. rappel de l'importance de cette région aux deux armées de la Bouche et de Locke à Odessa.Moscou.