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L’agrivoltaïsme consiste notamment à installer des panneaux solaires dans des prairies pauvres en termes agronomiques, compatibles avec des élevages d’ovins ou de bovins. Jerome Chabanne/Hans Lucas

Ces nouvelles installations fermières se retrouvent au cœur du débat.

De l’électricité dans l’air. Les débats autour de l’agrivoltaïsme montent en intensité autour de cette énergie issue de panneaux solaires installés dans les champs, et que le projet de loi entend mieux encadrer. En jeu: la définition et les conditions d’homologation de ces nouvelles sources d’énergie, nécessaires selon ses partisans pour atteindre l’ambitieux objectif du président Macron de 100 gigawatts issus du solaire à horizon 2050. Soit environ dix fois plus qu’actuellement.

Alors que le photovoltaïque en toiture devrait permettre d’atteindre la moitié de l’objectif, et que l’utilisation des friches industrielles se développe, «cela ne suffira pas, prévient pourtant un professionnel de l’énergie. Il manquera encore un tiers de l’objectif. C’est pour cela que nous aurons besoin d’agrivoltaïsme

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Or, pour les partisans de ces nouvelles installations fermières, le texte actuel risque d’être trop permissif. Tout d’abord, la définition de l’Ademe, que l’on croyait acquise par tous les acteurs…

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Énergies renouvelables: trop permissif ou trop rigide, le projet de loi crée un regain de tensions sur l’agrivoltaïsme

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