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Face aux accusations, Eric Kokerel dénonce des "rumeurs infondées" sur ses agissements contre les femmes

Dans une tribune publiée dans le Journal du Dimanche le 3 juillet, Eric Coquerel a répondu pour la première fois à l'accusation de Rokhaya Diallo.

Eric Coquerel est dans la tourmente après avoir été élu président de la commission des finances. Après que Rokaya Dialo ait accusé le micro de RTL de "comportement avec les femmes", Insoumis a décidé de publier une tribune dans la rubriqueJDDdu dimanche 3 juillet.

Lire aussi : Rokhaya Diallo parle de "comportement" avec les femmes d'Eric Coquerel, LFI

"Je suis allée sur ce forum que je n'ai jamais utilisé violence physique ou psychologique ou coercition pour obtenir un rapport qui caractérise l'entrée dans l'activité criminelle dans le domaine de la violence sexiste et sexuelle." J'ai été contraint de parler pour la première fois ", a-t-il déclaré.

"Deux simples témoignages anonymes"

"Plusieurs rédactions ont mené des enquêtes de journalisme", très proche du dirigeant de LFI Jean-Luc Mélenchon, souligne le lieutenant. "Rien n'est sorti car nous n'avons trouvé aucun témoignage qui pourrait être lié à l'activité criminelle du criminel de Fortiori, mais la rumeur est sortie dans le LFI du journal de septembre Cosette . Ressuscitée par une enquête sexiste. 2018. Des journalistes évoquent deux simples témoignages anonymes d'un député anonyme coupable d'un feuillet qui jouxte le harcèlement. Visiblement bâclé."

L'agent de Seine Sandoni estime que "l'interrogatoire public ne devrait pas être possible sans le respect de la voix de femmes, des rapports précis, identifiés et vérifiés." ..

Et il ajoute : "C'est une porte vers l'arbitraire, c'est très réactionnaire, et ça ne fume pas sans feu." Eric Coquerel a déploré dans sa chronique que le réseau social Twitter "est facile à gérer ce genre de procédé, notamment parce que l'anonymat protège toutes les opérations".

La veille, plusieurs militants ont déclaré à Mediapartque le député Insoumis avait déjà adopté un comportement "inapproprié" envers les femmes, mais sans signalement, l'enquête a abouti.