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Bernard Laporte lors de son élection à la présidence de la FFR, le 3 octobre 2020 à Marcoussis. Icon Sport/Icon Sport

RÉCIT - Le Figaro raconte les coulisses de la stratégie qui a poussé le président à finalement démissionner. Son équipe est désormais assurée de rester en place.

Il est 8 h 40, ce vendredi matin, quand Le Figaro apprend de source sûre que Bernard Laporte va faire savoir vingt minutes plus tard au comité directeur qu’il présente sa démission. La décision de jeter l’éponge a été prise par le futur ex-président en personne «au petit matin», à l’issue d’une nuit de discussions entre membres de sa garde rapprochée, lui, interdit d’y participer, étant tenu régulièrement au courant du cours des tractations par téléphone. L’objet de cette nuit des longs couteaux? Trouver une parade pour rester à la tête de la Fédération française de rugby. Jeudi midi, en effet, le verdict, consultatif, était tombé. À 51,06 %, les clubs avaient voté contre le candidat proposé par le président de la FFR pour exercer ses prérogatives pendant sa mise en retrait imposée par la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, le temps que soit jugé son appel interjeté après sa condamnation en première instance. Patrick Buisson se présentait à ce poste de président délégué. La meilleure…

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