Il faut d'abord «tester des (grèves) reconductibles», a indiqué Thierry Defresne, secrétaire CGT du comité TotalEnergies Europe.
Il faut d'abord «tester des (grèves) reconductibles», a indiqué Thierry Defresne, secrétaire CGT du comité TotalEnergies Europe.
Il faut d'abord «tester des (grèves) reconductibles», a indiqué Thierry Defresne, secrétaire CGT du comité TotalEnergies Europe. STEPHANE MAHE / REUTERS

La CGT appelle à un mouvement de grève de 48 heures, mardi et mercredi, contre 72 heures prévues initialement.

Les salariés de TotalEnergies ne sont pas «prêts» à arrêter les raffineries du groupe dans l'immédiat, a-t-on appris jeudi auprès de la CGT, qui appelle finalement à un mouvement de grève de 48 heures, mardi et mercredi, contre 72 heures prévues initialement.

Il était envisagé initialement d'arrêter la production dans les raffineries dans le cadre du mouvement de grève contre le projet de réforme des retraites: «ce qu'on va leur proposer pendant 48 heures, c'est rien ne rentre, rien ne sort, comme d'habitude». Pour «savoir si les salariés sont prêts» à un arrêt, il faut d'abord «tester des (grèves) reconductibles», a indiqué à l'AFP Thierry Defresne, secrétaire CGT du comité TotalEnergies Europe.

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