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Guerre en Ukraine, en direct : la Russie viole les « principes fondamentaux de la protection de l’enfance », selon l’ONU

Live en cours

Le haut-commissaire Filippo Grandi a déclaré que Moscou viole les « principes fondamentaux de la protection de l’enfance » en temps de guerre en donnant aux enfants ukrainiens des passeports russes et en les proposant à l’adoption.

Les infos importantes à connaître ce vendredi 27 janvier matin

  • L’Ukraine a été la cible jeudi de nouveaux bombardements russes d’ampleur qui ont fait au moins onze morts et onze blessés, et provoqué des pannes de courant dans le pays. Selon l’armée ukrainienne, la Russie a tiré 55 missiles sur l’Ukraine et « 47 ont été détruits, dont 20 » aux abords de Kiev.
  • Cette nouvelle vague de bombardements est survenue au lendemain de l’autorisation de Washington et de Berlin de transférer des dizaines de chars lourds à Kiev, une décision inédite en onze mois de guerre. Les Etats-Unis ont promis l’envoi de trente et un Abrams, tandis que l’Allemagne doit fournir quatorze Leopard de type 2A6 issus des stocks de son armée.
  • « Nous avons déjà douze pays dans notre coalition de chars », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, après l’annonce faite par le Canada, jeudi, de fournir quatre chars Leopard à l’Ukraine. Selon plusieurs médias, la coalition de pays prêts à fournir de tels blindés comprend aussi le Danemark et les Pays-Bas, outre la Pologne et la Finlande. L’Espagne a confirmé être « disposée » à livrer aussi des chars.
  • La France hésite toujours à livrer des chars Leclerc à l’Ukraine. Le parc des blindés lourds français est réduit à 226, et Paris n’a pas de solution de remplacement immédiate.
  • Le Kremlin considère que la livraison de chars est la preuve de l’« engagement direct dans le conflit » des Occidentaux. Et « nous voyons que [cet engagement] grandit », a relevé jeudi le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
  • La production ukrainienne de céréales risque de baisser à nouveau en 2023. Les surfaces semées ont diminué et la récolte de céréales et d’oléagineux en Ukraine devrait atteindre « 53 millions de tonnes », contre 65 millions en 2022, selon les estimations de l’Association ukrainienne des producteurs de grains.

Tout le live

Les alliés de l’Ukraine répondent aux demandes de Kiev : il y a quelques semaines, c’était l’artillerie, puis des missiles antiaériens.

Après les chars, il devrait être question d’avions de combat. Dans un entretien au Financial Times, Frank St John, le directeur de l’exploitation de l’entreprise américaine Lockheed Martin, déclare que la société « allait augmenter la production de F-16 à Greenville [en Caroline du Sud] pour permettre de fournir assez efficacement les pays qui décident de faire des transferts [d’avions de chasse] en soutien au conflit actuel » en Ukraine. Volodymyr Zelensky a appelé à plusieurs reprises les Occidentaux à lui livrer des F-16, ces avions de chasse américains anciens, mais relativement faciles à prendre en main pour des pilotes habitués aux aéronefs d’origine soviétique.

Lire aussi : La France prépare la livraison de nouveaux canons Caesar à l’Ukraine

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Selon le haut-commissaire de l’ONU pour les réfugiés, la Russie viole les « principes fondamentaux de la protection de l’enfance »

Filippo Grandi à Karkhiv, le 24 janvier.

S’exprimant dans les bureaux du Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR) des Nations unies à Kiev, après une tournée de six jours en Ukraine, le haut-commissaire Filippo Grandi a déclaré lors d’une interview à Reuters que la Russie viole les « principes fondamentaux de la protection de l’enfance » en temps de guerre en donnant aux enfants ukrainiens des passeports russes et en les proposant à l’adoption. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a demandé à son agence de « faire plus » pour aider les enfants des régions occupées à qui cela arrive. « Leur donner la nationalité [russe] ou les faire adopter va à l’encontre des principes fondamentaux de la protection des enfants dans les situations de guerre, a déclaré M. Grandi. C’est quelque chose qui se passe en Russie et qui ne doit pas se produire. »

Dans une entrevue avec l’AFP, M. Grandi a par ailleurs averti que les Européens devaient se préparer à une probable nouvelle vague de déplacés ukrainiens fuyant les combats. « Toute exacerbation de la guerre risque de provoquer de nouveaux déplacements, d’une manière ou d’une autre, et nous devons nous y préparer », a-t-il déclaré.

Commémorations de la Shoah en Ukraine et en Russie

A l’occasion de la Journée internationale des victimes de la Shoah, Volodymyr Zelensky a rappelé que « l’indifférence et la haine » continuaient de tuer, en faisant allusion à l’offensive militaire de la Russie. « Aujourd’hui, comme à chaque fois, l’Ukraine honore la mémoire des millions de victimes de la Shoah. Nous savons qu’ensemble l’indifférence et la haine tuent », a déclaré dans une vidéo sur les réseaux sociaux M. Zelensky, lui-même juif. « L’indifférence et la haine créent ensemble le mal », a-t-il ajouté, avant d’appeler « les nations du monde à surmonter l’indifférence pour qu’il y ait moins de place pour la haine ». Le président ukrainien s’est gardé, cependant, de citer la Russie et l’invasion de son pays dans cette vidéo.

A Moscou, Vladimir Poutine a repris la rhétorique qu’il utilise pour justifier son offensive militaire, en accusant l’Ukraine d’être dirigée par des nazis cherchant à exterminer les russophones. « Oublier les leçons de l’histoire conduit à la répétition de terribles tragédies. La preuve en est les crimes contre les civils, le nettoyage ethnique [et] les actions punitives organisées par les néonazis en Ukraine », a dénoncé M. Poutine dans un communiqué. « C’est contre ce mal que nos soldats se battent courageusement », a-t-il ajouté. Pour justifier l’intervention russe, Vladimir Poutine a à maintes reprises dénoncé « le génocide », selon lui, des populations russophones de l’Est ukrainien et qualifié le régime de Volodymyr Zelensky de « néonazi ».

Le char M1 Abrams utilise de l’uranium appauvri sur son blindage. Il peut tirer des obus M829, qui disposent d’un noyau d’uranium appauvri, capables de transpercer les blindages russes.

Konstantin Gavrilov, chef de la délégation russe au Forum de l’OSCE pour la coopération en matière de sécurité à Vienne, a mis en garde les Occidentaux contre la fourniture de ces munitions : « Leur utilisation conduit à la contamination de la zone, comme ce fut le cas en ex-Yougoslavie et en Irak. Si de telles munitions pour les armes lourdes fabriquées par l’OTAN sont fournies à Kiev, nous considérerons cela comme l’utilisation de bombes nucléaires sales contre la Russie, avec toutes les conséquences qui en découlent », a-t-il déclaré.

Les dangers de ces munitions sont connus.

Vous pouvez parcourir ces quelques études sur les effets des munitions à l’uranium appauvri :

Bonjour Blablachars,
Ce site est, en effet, très bien et nous avons aussi repris le tableau de l’International Institute for Strategic Studies.

Mateusz Morawiecki, le premier ministre polonais, a expliqué hier à la chaîne canadienne CTV News que son pays avait « envoyé deux cent cinquante chars » depuis le début de la guerre. Il ajoute, « nous sommes prêts à envoyer soixante de nos chars modernisés, dont trente PT-91. Et, en plus de ces chars, quatorze chars, des Leopard 2 ».

Washington a promis trente et un M1 Abrams, Londres quatorze Challenger 2, Berlin quatorze Leopard 2, Ottawa quatre Leopard 2… La Norvège, le Danemark, les Pays-Bas, la Finlande et l’Espagne ont confirmé être « disposée » à livrer aussi des chars. Au total, Kiev qui réclame depuis décembre quelque 300 chars aux Occidentaux pour lancer des contre-offensives devrait pouvoir compter sur une centaine de blindés.

La ministre des affaires étrangères française, Catherine Colonna, avec son homologue ukrainien, Dmytro Kuleba, dans le port de la mer Noire d’Odessa, en Ukraine, le 26 janvier 2023. Une zone résidentielle détruite par une attaque russe, à Hlevakha, dans la région de Kiev, le 26 janvier 2023.

Mis en cause pour des attitudes prorusses, le père de Novak Djokovic annonce renoncer à assister à la demi-finale de son fils

Etonnante polémique à l’Open d’Australie de tennis. Srdjan Djokovic a annoncé vendredi renoncer à assister au prochain match de son fils Novak après avoir subi de nombreuses critiques sur ces agissements ces derniers jours.

« Je suis là uniquement pour soutenir mon fils. Je n’avais pas l’intention de faire les gros titres ni de causer de perturbations (…) Pour qu’il n’y ait pas de perturbation durant la demi-finale pour mon fils ni pour son adversaire, j’ai choisi de regarder le match de la maison », a écrit Srdjan Djokovic dans un communiqué dont l’Agence France-Presse s’est procuré une copie.

Jeudi, une vidéo publiée sur un compte YouTube australien prorusse avait montré Srdjan Djokovic posant à l’extérieur du stade en compagnie d’un homme tenant un drapeau russe avec le visage du président Vladimir Poutine. L’homme était vêtu d’un tee-shirt portant le symbole russe proguerre « Z ».

L’ambassadeur d’Ukraine à Canberra, Vasyl Myroshnychenko, avait exigé des organisateurs de la compétition qu’ils retirent l’accréditation de Srdjan Djokovic, après la diffusion de la vidéo. M. Myroshnychenko a également appelé Novak Djokovic, qui se prépare à affronter l’Américain Tommy Paul en demi-finale du tournoi, à s’excuser personnellement et à clarifier sa position sur l’invasion russe de l’Ukraine. « Il est important que Novak aborde cette situation », a-t-il insisté. « Il devrait s’excuser pour ce qui s’est passé et condamner l’invasion russe en Ukraine. »

La semaine dernière, l’ambassadeur Myroshnychenko avait contribué à persuader les organisateurs de l’Open d’Australie d’interdire les drapeaux russes et biélorusses dans les tribunes pendant le tournoi. L’ambassade de Russie en Australie a qualifié cette interdiction de « nouvel exemple de politisation inacceptable du sport ».

L’ancien joueur ukrainien Alex Dolgopolov, qui combat actuellement avec l’armée de son pays, a qualifié sur Twitter le comportement de Djokovic père d’« absolument dégoûtant ». Il est « très contrariant » de voir le père de Novak Djokovic aux côtés de supporteurs brandissant des drapeaux prorusses, a réagi vendredi la joueuse de tennis ukrainienne Marta Kostyuk à l’Open d’Australie. « Cela n’a pas d’importance qui vous êtes, personne n’a le droit » de brandir ces drapeaux, a dit Kostyuk, 20 ans, qui s’exprimait après sa défaite en demi-finale du double dames. « Ce genre de choses ne peut pas rester dans l’ombre », a-t-elle insisté. « C’est très contrariant. »

Mercredi soir, un groupe de fans russes a fait fi de cette interdiction à Melbourne Park, chantant même à tue-tête des slogans prorusses et pro-Poutine. Simeon Boïkov, un activiste pro-Poutine australien à l’origine de la vidéo publiée sur YouTube, avait exhorté les supporteurs russes à descendre près du stade où se déroule le tournoi, avant le match de quart de finale de Djokovic contre Andrey Rublev mercredi. « Il s’agit maintenant d’honneur et de dignité. C’est une attaque contre l’honneur et la dignité. Cela n’a rien à voir avec la guerre », avait-il déclaré dans un message vidéo, apparemment en référence à l’interdiction des drapeaux russes.

Onze morts dans la dernière salve de missiles russes lancés jeudi

Selon le commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valeri Zaloujny, la Russie a tiré, jeudi, 55 missiles sur l’Ukraine et « 47 ont été détruits, dont 20 » aux abords de Kiev. « Onze personnes ont été blessées, et malheureusement onze autres sont mortes », a déclaré le porte-parole des secours ukrainiens, Oleksandr Khorounjy, selon qui les dégâts les plus importants sont dans la région de Kiev. En outre, l’Ukraine a dit avoir abattu vingt-quatre drones explosifs Shahed, de fabrication iranienne.

Des coupures d’électricité « d’urgence » ont été effectuées à Kiev et dans d’autres régions après que des sites énergétiques ont été « touchés », la Russie essayant de causer « une défaillance systémique » du réseau national, selon le ministre de l’énergie, German Galushchenko.

Jeudi soir, dans son adresse quotidienne sur Internet, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a admis « qu’il y a des restrictions d’électricité dans la plupart de nos régions », mais a assuré que tout était mis en œuvre afin de réparer le réseau au plus vite possible. A Odessa, dans le Sud-Ouest, malgré « des difficultés », le courant était rétabli à 15 heures, heure locale, dans « les hôpitaux » et « les autres infrastructures essentielles de la ville », a annoncé la compagnie d’électricité privée DTEK.

Hélène Carrère d’Encausse, une grande connaisseuse de la Russie « en plein brouillard »

A 93 ans, Hélène Carrère d’Encausse, historienne spécialiste de la Russie, a longtemps incarné, en France, l’expertise sur ce pays… au risque de s’égarer aujourd’hui sur l’analyse de la guerre en Ukraine, et de se voir reprocher une forme d’indulgence, ces dernières années, à l’égard de Vladimir Poutine.

Alors, oui, celle qui joua si longtemps le rôle de statue du commandeur l’avoue : elle est « en plein brouillard », au point de confesser qu’elle « tourne en rond » depuis un an : « Je suis dépassée. Où ai-je manqué quelque chose ? »

Lire aussi : Hélène Carrère d’Encausse, une grande connaisseuse de la Russie « en plein brouillard »

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Les infos importantes à connaître ce vendredi 27 janvier matin

  • L’Ukraine a été la cible jeudi de nouveaux bombardements russes d’ampleur qui ont fait au moins onze morts et onze blessés, et provoqué des pannes de courant dans le pays. Selon l’armée ukrainienne, la Russie a tiré 55 missiles sur l’Ukraine et « 47 ont été détruits, dont 20 » aux abords de Kiev.
  • Cette nouvelle vague de bombardements est survenue au lendemain de l’autorisation de Washington et de Berlin de transférer des dizaines de chars lourds à Kiev, une décision inédite en onze mois de guerre. Les Etats-Unis ont promis l’envoi de trente et un Abrams, tandis que l’Allemagne doit fournir quatorze Leopard de type 2A6 issus des stocks de son armée.
  • « Nous avons déjà douze pays dans notre coalition de chars », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, après l’annonce faite par le Canada, jeudi, de fournir quatre chars Leopard à l’Ukraine. Selon plusieurs médias, la coalition de pays prêts à fournir de tels blindés comprend aussi le Danemark et les Pays-Bas, outre la Pologne et la Finlande. L’Espagne a confirmé être « disposée » à livrer aussi des chars.
  • La France hésite toujours à livrer des chars Leclerc à l’Ukraine. Le parc des blindés lourds français est réduit à 226, et Paris n’a pas de solution de remplacement immédiate.
  • Le Kremlin considère que la livraison de chars est la preuve de l’« engagement direct dans le conflit » des Occidentaux. Et « nous voyons que [cet engagement] grandit », a relevé jeudi le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
  • La production ukrainienne de céréales risque de baisser à nouveau en 2023. Les surfaces semées ont diminué et la récolte de céréales et d’oléagineux en Ukraine devrait atteindre « 53 millions de tonnes », contre 65 millions en 2022, selon les estimations de l’Association ukrainienne des producteurs de grains.

Bonjour à toutes et à tous

Bienvenue dans ce nouveau direct consacré à la guerre en Ukraine.

Notre live d’hier est accessible en cliquant sur ce lien.

Le contexte

  • Après les annonces des Etats-Unis et de l’Allemagne, Kiev pourrait compter sur une centaine de blindés lourds. Washington a promis trente et un M1 Abrams, Londres quatorze Challenger 2, Berlin quatorze Leopard 2, Ottawa quatre Leopard 2. La Norvège, le Danemark, les Pays-Bas, la Finlande et l’Espagne ont confirmé être « disposés » à en livrer aussi. « Nous avons déjà douze pays dans notre coalition de chars », se félicite Volodymyr Zelensky. La France hésite toujours à livrer des chars Leclerc à l’Ukraine.
  • L’Ukraine a été la cible jeudi de nouveaux bombardements russes d’ampleur, qui ont fait au moins onze morts et onze blessés, et provoqué des pannes de courant dans le pays. Selon l’armée ukrainienne, la Russie a tiré 55 missiles sur l’Ukraine et « 47 ont été détruits, dont 20 » aux abords de Kiev.
  • Le Kremlin considère que la livraison de chars est la preuve de l’« engagement direct dans le conflit » des Occidentaux. Et « nous voyons que [cet engagement] grandit », a relevé jeudi le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
  • La production ukrainienne de céréales risque de baisser à nouveau en 2023. Les surfaces semées ont diminué et la récolte de céréales et d’oléagineux en Ukraine devrait atteindre « 53 millions de tonnes », contre 65 millions en 2022, selon les estimations de l’Association ukrainienne des producteurs de grains.

Retrouvez notre live d’hier en cliquant sur ce lien.

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