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Ellow : Arrêté car non vacciné, l'agent technique bat l'employeur

Cette privation de salaire de neuf mois de 50 ans devait être rétablie et indemnisée, et a été ordonnée par le Tribunal des Prud'hommes de Sète.

Ce n'est que la troisième décision prise en France. Après l'infirmier Alençon et le comptable Colmar, le Prud Homme de Sète (Hérault) a donné raison à un technophile suspendu de son travail parce qu'il n'était pas vacciné. Depuis neuf mois elle n'a pas gagné un sou et l'employeur doit la récupérer et payer les salaires impayés et refuse... 

Valérie, 53 ans, sentait que le vent tournait . Suite à l'allocution du président Macron en juillet dernier, la loi du 5 août 2021 a été promulguée, instaurant des obligations de vaccination pour les salariés des établissements de santé et hospitaliers. L'agent de maintenance technique, qui a signé un CDI à Toulouse en 2012, a déménagé à Erow en 2021 et rejoint un autre employeur du Meze pour gérer le logement des personnes âgées. 

"Je ne voulais pas y échapper, je savais quand j'étais dans le club depuis 10 ans que j'essayais de m'en débarrasser en septembre"Frustré et lancé cette femme. Elle n'est pas antibactérienne, non, sa santé est très sensible aux soins médicaux, et son aversion pour les injections justifie son désir de ne pas se faire vacciner .

"Ils avaient une solution pour me reclasser et me mettre au placard."

"J'ai fait l'entretien, les travaux de finition, Ne croise pas les habitants, mets des masques, Je respecte les gestes barrières... et j'ai travaillé en 2020 et 2021, je n'étais pas piégée"Elle a développé To do."Ils ont une solution pour me reclasser. C'est une entreprise publique, elle a une résidence publique et me met au placard.".

Début septembre, elle a bien sûr été suspendue. Et cela fait plusieurs mois qu'elle se décide à saisir le Tribunal des Prud'hommes dans le cadre de la procédure de référé. La décision a été notifiée le 16 juin.

"Le Tribunal des Prud'hommes nous a donné raison et a ordonné sa réintégration immédiate. Il y a une amende déguisée par la loi d'août 2021 et interdite par le droit du travail. n'ont plus de moyens de subsistance. »m'accueille Alexandra Sorie. Tout le monde lui rappelle :"Chacun a le droit de disposer de son corps, et elle n'est même pas soignante."

Valérie aurait dû reprendre son poste le 20 juin . As! Son employeur s'y est opposé , a fait valoir que la loi lui interdisait de le faire et a fait appel de la décision rendue à Sète.

"Oui, cette jurisprudence viole la loi, mais l'indépendance de la justice nous permet de l'analyser comme mauvaise."poursuit MeAlexandra Soulier. Qui a saisi la Cour de justice de Montpellier et l'a contraint à reprendre ses fonctions ? En attendant, Valérie vit tant qu'il peut. "Heureusement, j'avais un peu d'argent de côté et mes amis m'ont aidé, mais je ne veux rien entendre", soupire le quinquagénaire.