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Hugo Lloris arrête la première tentative de pénalty de Robert Lewandowski, lors du match contre la Pologne, le 4 décembre. GLYN KIRK/AFP

Samedi, le capitaine des Bleus vivra un moment singulier, en plus d’un jour historique d’un point de vue personnel.

Envoyé spécial à Doha

Les journalistes anglais sont terribles. Et restent les meilleurs pour délivrer, avec leur flegme légendaire so british, quelques banderilles avant des rendez-vous historiques. Jeudi, le très respecté et respectable Telegraph a clairement ciblé Hugo Lloris comme étant le «talon d’Achille de la France», avant les retrouvailles entre vieux amis en quarts de finale de la Coupe du monde, sur la pelouse du stade l’al-Bayt. Questionné par un confrère français sur ce sujet vendredi, histoire d’ajouter un peu de sel à une bataille qui n’en manque pas, le capitaine des Bleus a dévoilé un sourire crispé. À 35 ans, il connaît trop les ficelles de chaque question et ne tombe pas dans le piège facilement. Mais son langage corporel a laissé transparaître une légère crispation, doublé d’une forme d’agacement. Je ne vais pas répondre en conférence de presse ou à travers les médias, expose-t-il, placide. Je n’ai pas besoin d’une motivation qui vient de l’extérieur pour un quart de finale…

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Le Figaro

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