`` Ce que nous ressentons, c'est de la frustration. Avec l'interdiction d'arroser les grandes cultures imposée dans le Finistère par arrêté départemental, Éric Seité-de-Léon, 29 ans, du Ty Coz ferme à St. 140 hectares) sur une alimentation sèche à l'eau. Pour ceux qui cultivent en bio avec leurs frères et sœurs depuis 2007, " ça va être très compliqué ".
Baisse de rendement
Si vous n'avez pas encore calculé la perte , vous connaissez déjà le résultat : rendement du chou chinois ou du brocoli divisé par 5 ou 6. Deux carottes et deux oignons.
" J'ai pu planter du chou et l'arroser en début de semaine. J'espère que ça passera. Par contre, radis noirs, navets, c'est le moment de semer. Mais sans eau, on a 15 cm de poussière épaisse sur certaines parcelles ! Les clients sont satisfaits", et ce n'est pas suffisant pour espérer les prochains mois.
`` Il n'y avait pas besoin de ça ''
`` Je trouve pénible qu'un décret soit passé sans explication... Territoire Pour ?assurer un minimum d'eau... " et quatre grands " chemins " (dévidoirs mobiles) reliés à deux puits et points d'eau. Demandez à l'agriculteur préparé " donne toujours ".
Depuis le printemps, il est " prudent ". Après la fermeture de juillet, ils ont suivi les directives et ont irrigué de 20h67 à 9h68. " Nous avons travaillé jour et nuit ! "
L'amertume est clairement là : " Toujours à la recherche des prix. Nous n'avions pas besoin de ça !Pourquoi sommes-nous mis à zéro, pas les activités touristiques ? " il défie l'interdiction Ce n'est pas le cas. Cependant, " le chef doit avoir une réponse concordante s'il veut tous les laisser mourir, sinon la colère et la frustration s'accumuleront... "
" "
L'alimentation est un souci pour Plouarzel. Jean-Claude L'Hostis, président du Syndicat de l'Irrigation des trois exploitations et responsable de l'exploitation laitière, explique . J'espère qu'il pleuvra à la fin. »
Les personnes sans système d'irrigation sont déjà touchées par la sécheresse. Martin Cloitre, vice-président de la chambre d'agriculture du Finistère et agriculteur à Pluartzel (150 vaches laitières et 130 truies), s'inquiète pour son maïs : % '' estime-t-il. Luc Quéméner (29 ans), éleveur laitier de Plozève, est en deuil : }.”