Italie - France en direct : suivez le match du Tournoi des six nations

Je pense tout simplement que l’ordre est défini par l’alphabet mais rassurez-vous, dans quatre-vingt minutes, vous verrez France (5 points) et Italie (0).

Tout à fait ! Le numéro 4, Niccolo Cannone (24 ans) est le grand frère du 8, Lorenzo Cannone (22 ans). Les deux jouent à Benetton Trévise.

A 27 ans, Thomas Ramos semble être à son « prime », expression souvent utilisée en NBA pour désigner la meilleure période de la carrière d’un joueur. L’arrière du Stade Toulousain sera titulaire cet après-midi pour défier l’Italie, et le doit à ses grandes performances depuis le début de la saison. Une victoire en soi pour le natif de Mazamet, capable d’évoluer également à l’ouverture. Car sa polyvalence lui a souvent porté préjudice, le cantonnant à un rôle de remplaçant de luxe, ou plutôt de « finisseur » de luxe.

Après avoir longtemps été derrière Melvyn Jaminet dans la hiérarchie, il a profité de la blessure de son nouveau coéquipier à Toulouse pour lui prendre sa place à la faveur d’une tournée automnale réussie. Pour la première fois, Fabien Galtié a décidé de lui confier le fond de terrain des Bleus alors que son coéquipier est également opérationnel. Ce sera d’ailleurs très certainement Ramos qui aura la responsabilité de buter contre l’Italie, lui qui arrive plus frais que jamais pour ce match. Il n’a plus joué depuis le 18 décembre (un tragique jour de finale de Coupe du monde de foot) après avoir été suspendu pour une faute lors de Sale Sharks-Toulouse, en Coupe d’Europe.

On ne va pas s’avancer pour la Coupe du monde, mais voyons le verre à moitié plein : il n’y a pas de finale lors du Tournoi des six nations.

On continue à évacuer les blagues sur Dumortier, plus que dix minutes avant les hymnes. C’est le moment ou jamais !

Selon nos sources, Antoine Dupont a également remporté le serrage de mains des capitaines.

J’avais oublié cet article, qui à mon sens est le plus approprié du jour. Bravo d’y avoir pensé et de nous avoir communiqué ce lien (maison, qui plus est)

Tout le plaisir est pour nous @kopiste de tjrs !

A mon avis, on peut toutes les écouler d’ici au coup d’envoi, histoire d’évacuer ça. Je prolonge d’un « Dumortier bombarde les tranchées italiennes ». A vous !

Série de victoires à poursuivre, trophée à garder et Coupe du monde à préparer : les enjeux sont nombreux pour cette année ovale du côté de l’équipe de France, et notre envoyé spécial à Rome Clément Martel les détaille ici. Vous ne lirez objectivement rien de mieux écrit aujourd’hui.

C’est pour que vous soyez bien réveillés pour le coup d’envoi. Ca va cogner directement !

Après les photos de Rome envoyées par Clément, voici la deuxième lame en provenance de Marie-Galante ! On reste solide, on a quand même la vue sur la Seine depuis Austerlitz.

Il vous avait manqué comme le soleil dans la grisaille parisienne, voici le retour du #CQTP (C’est quoi ton prono ?).

Pour la première rencontre du XV de France dans ce Tournoi des six nations, Gabriel voit un score assez important et une victoire française (29-18), Valentin imagine une victoire tricolore sans le bonus offensif (17-11) et Vincent pronostique une victoire française dans la douleur (28-20). Notre envoyé spécial Clément pronostique aussi un succès français : 33-17.

4e bonne nouvelle : le Stade toulousain l’a emporté hier. N’oublions pas les vraies priorités du week-end.

45 minutes encore à attendre, le moment parfait pour le premier Tutut du Tournoi !

Si vous voulez notre avis, la France et l’Irlande sont favoris dans ce Tournoi (vous connaissez notre talent pour les pronos, c’est donc probablement l’Ecosse ou l’Angleterre qui l’emportera). Et l’Irlande a bien lancé son Tournoi des six nations hier, c’est le moins que l’on puisse dire. Dans un Principality Stadium médusé, le XV du Trèfle a infligé une correction au Pays de Galles (34-10) pour prouver que leur première place au classement mondial n’était pas usurpée. Dans l’autre rencontre de la soirée, l’Ecosse a elle réussi l’exploit de s’imposer en terre anglaise (29-23). Reste à espérer que les victoires en déplacement continuent dans cette compétition.

Bien le bonjour de Rome. A ce qu’il paraît, la ville ne s’est pas construite en un jour, et présent ici depuis désormais deux jours, je vous confirme que ça ne suffit pas pour en faire le tour. D’autant plus lorsque l’on court après le XV de France (qui, parfois, comme hier, commence ses conférences de presse un brin en avance).

Après, tant que l’équipe ne cède pas à la mode de la capitale italienne, à savoir exposer ses magnifiques ruines, tout ira bien.

Mais la Cité éternelle est belle, le ciel est d’azur (tiens, comme le maillot numéro un des deux équipes en lice aujourd’hui), et les supporteurs des deux camps se rapprochent doucement du stade olympique (dont l’arrivée est bordée de statues) dans la bonne humeur. Seule la température, relativement frisquette, rappelle que nous sommes en début février.