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Amandine Buchard a décroché la médaille d’argent des moins 52 kg et la médaille d’or en équipe mixte aux JO de Tokyo. MILLEREAU PHILIPPE/KMSP via AFP

PORTRAIT - À Tachkent, la judokate française rêve de décrocher son premier titre mondial, un an après l’argent des Jeux de Tokyo.

«Une école de la vie». C’est ainsi que Larbi Benboudaoud, le directeur de la haute performance à la Fédération française, aime à définir le judo. Et comme toute scolarité, celle-ci peut s’avérer douce ou plus délicate. Pour Amandine Buchard, elle a sans doute été les deux. Douce au départ, avec une ascension extraordinairement rapide en 2014, symbolisée par une médaille de bronze mondiale et un titre de vice-championne d’Europe décrochés dès l’âge de 18 ans. Puis particulièrement douloureuse au tournant de l’année 2016, lorsqu’elle manqua les Jeux olympiques de Rio en raison de son changement de catégorie.

Son corps ne supportait alors plus les régimes drastiques que lui imposaient les moins de 48 kg, entraînant une vague dépressive manquant de la submerger totalement, comme elle nous l’avait confié en 2017: «Je suis revenue de loin parce que je ne comptais plus faire de judo. J’étais partie à l’étranger, loin de tout. Je ne voulais plus entendre parler de compétitions, de l’Insep, de tout…

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