France
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Moderne Jean Jack Rousseau

310 ans, Jean-Jacques Rousseau continue de nous parler d'une manière étrange et moderne. Dans sondiscours sur les origines et les fondements de l'inégalité entre les hommes, non seulement il a précisé que l'inégalité sociale n'était pas "naturelle", mais que la surmonter était un enjeu politique. Et les gens peuvent en faire leur affaire, ce qui est plus pertinent pour toutes les sociétés aujourd'hui qu'à l'époque. Non seulement il n'existait plus et critiquait le système revendiqué par la plupart des révolutionnaires de son temps, mais même de manière démocratique, il se "gouvernait" lui-même en leur transférant tout son pouvoir.Un système consistant à donner. Les élections les érigent en "leaders" qui prétendent que les gens décident de tout sans rien dire de plus. Non, ce qui tient Rousseau très au courant, c'est sa façon de penser un système politique qui puisse garder toute liberté tout en respectant la législation collective. C'est d'ailleurs tout l'objet dupacte social, et il continue à mon avis d'être le livre le plus éclairant de philosophie politique.

Démocratie complète

Bien sûr, il a besoin que le "peuple de Dieu" existe pour que les gens se gouvernent en permanence sans instance de gouvernement. Je ne sais pas si ce sera . .. Il a aussi pour eux les habitudes apprises dans le système corrompu, les tendances nécessaires pour contrôler leurs intérêts particuliers, ainsi que l'impossibilité d'apprendre ensemble toutes les cultures, tous les concepts et tous les modes, tout cela est une parfaite utopie démocratique, grâce à la des inférences qui peuvent construire un ensemble de lois "parfaites", affirmant que nous ne pouvons pas collectivement nous mettre d'accord sur la plus juste. De plus, c'est son pessimisme, "la volonté de chacun" (exprimée concrètement dans le vote, l'opinion qui existe réellement parmi les gens) est "la volonté générale" (ce qui arrive raisonnablement). Et cultive sa conviction désespérée que ça ne correspond jamais. Je veux des gens s'ils ont une connaissance absolue de leurs intérêts communs). Il ne rêve pas des gens, mais il veut quand même penser sa liberté comme un grand philosophe.

Le peuple et le pouvoir de l'État

La condition préalable pour y parvenir est le concept d'"alliance" théorisé par des philosophes tels que Hobbs, Grotius, Rock et la plupart d'entre nous. Contemporains : Ceux qui y voient une sorte d'échange entre la liberté que les peuples transfèrent au pouvoir national et l'ordre et la sécurité que le pouvoir national doit assurer en retour. Au terme de ce transfert de souveraineté, le peuple s'est aliéné la liberté de tous les citoyens. Rousseau s'oppose aux contrats que les gens passent seuls (définition de la direction à prendre) et à la nomination et à la gouvernance de ceux qui sont chargés de les appliquer (pas à la barre à bord). ne vous donne pas le droit de décider de la direction). Et, bien sûr, le dirigeant peut être démis de ses fonctions s'il s'écarte de la direction fixée par les citoyens. Par conséquent, en obéissant à la loi, les gens s'obéissent à eux-mêmes et ne s'aliènent donc pas leur liberté. On parle beaucoup de Sophist, qui voit les ancêtres de l'holisme chez Rousseau aujourd'hui, et de Sophist, qui y voit le dangereux anti-républicain, un opposant à la souveraineté présidentielle libérale.

Sous-jacente à cette idée démocratique de Rousseau, et ce qu'il a largement développé dans lepacte social, c'est sa critique de l'idée même d'"expression". .. Personne ne peut représenter les gens dans le sens où ils revendiquent le droit de prendre des décisions à leur place. On ne peut pas représenter les gens, répète-t-il, et insiste sur le fait que cela les prive de toute liberté. Personne ne voit les affirmations théoriques de l'époque s'incarner dans ce que l'on appelle la "démocratie représentative", une grave crise. Votez pour l'opposition à la démocratie. En France et ailleurs. Cette crise profonde et menaçante découle d'un sentiment d'impuissance et d'impuissance. Cela provoque à la fois une évasion des urnes et un déchaînement de colère, de haine, voire de mouvement de masse pour de nouvelles conquêtes sociales et démocratiques. C'est dans ces possibles multiples que nous vivons et agissons, et c'est tout l'intérêt de Jean-Jacques Rousseau de nous reparler avec des mots nouveaux. Comme Rousseau l'a bien vu, il est inévitable de mettre les gens sous protection, que ce soit en promouvant le « maître » ou en incorporant des traditions et des habitudes de pensée. Lire Rousseau, ce n'est pas lire les anciens auteurs, mais lire les futurs philosophes.