Passage à 5′
[…]“Eh bien, vous savez, vous pouvez prendre n’importe quoi – sexisme, racisme, misogynie, homophobie, peu importe, la guerre”, a déclaré l’actrice. “Et si vous vous y mettez vraiment, et que vous l’étudiez, et que vous en apprenez l’histoire, et que tout est lié. Il n’y aurait pas de crise climatique s’il n’y avait pas de racisme.”
Moreno a demandé à Fonda une explication, ce à quoi elle a répondu : “Où mettraient-ils toute la merde ?”. “Où mettraient-ils le poison et la pollution ?” Fonda a poursuivi. “Ils ne vont pas le mettre à Bel Air. Ils doivent trouver un endroit où vivent les pauvres, les indigènes ou les gens de couleur. Ils le mettent là. Ils ne peuvent pas se défendre. Et c’est pourquoi une grande partie du mouvement pour le climat a maintenant à voir avec la justice climatique.”
[…]New York Post
