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Le député de La France insoumise, Adrien Quatennens, lors d’une séance à l’Assemblée nationale, le 3 août. ALAIN JOCARD/AFP

RÉCIT - Le parti de Jean-Luc Mélenchon est traversé par des doutes sur la stratégie adoptée par LFI.

Lundi soir, la réunion du bureau des Insoumis à l’Assemblée s’est terminée tard, nettement plus tard que d’habitude. Il était quasiment minuit lorsque les parlementaires se sont séparés, contre 22 heures les autres semaines. Fait rare selon plusieurs des participants, la parole y a été très libre. Il faut dire que quelques jours plus tôt, mercredi, un communiqué est tombé, venant bloquer le retour quasi annoncé d’Adrien Quatennens sur les bancs de l’Hémicycle. «Cela fait plusieurs années que je subis ses colères, ses crises, des violences physiques et morales, a fait savoir sa future ex-épouse. Au cours de ces dernières années, j’ai voulu le divorce à trois reprises, à chaque fois, sous la pression, je suis revenue en arrière.»

Céline Quatennens communique exclusivement par l’entremise d’un avocat qui ne souhaite pas révéler son identité. Mais ses mots - démentis «catégoriquement» par la partie adverse - ont eu l’effet d’une bombe. Depuis septembre, quand a éclaté cette affaire de violences…

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Le Figaro

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