L'affaire Vénissieux montre la résurgence et le danger du refus d'obtempérer

Prolifération et danger de non-conformité et armes policières L'utilisation de est au cœur du drame qui s'est déroulé dans la nuit du jeudi 18 au vendredi 19 à Vénissieux (Rhône), au sud de la métropole de Lyon. Un homme de 20   ans a été tué et un autre de 26   ans a été hospitalisé dans un incendie policier. Selon les procureurs, son pronostic vital est " très diligent ".

Les deux hommes ont délibérément tabassé un policier pour forcer un contrôle de police sur le véhicule volé, selon le premier élément de la double enquête, rendu public dans un communiqué lyonnais. } parquet. Cela a ouvert une enquête sur`` refus aggravé d'obtempérer et violence armée contre des agents des forces de l'ordre, ''et a été renvoyée au département du shérif, qui a identifié deux personnes dans le véhicule.

Les deux policiers qui ont ouvert le feu,"  "ont été libérés de leur garde à vue vendredi en fin de journée.

" Si le premier élément semble étayer l'hypothèse de légitime défense, ajouter Toutefois , des informations, notamment de reconstitution et d'expertise balistique, doivent être menées pour déterminer les circonstances exactes dans lesquelles les policiers ont fait usage de l'arme, etont déclaré dans un second communiqué. Dans un communiqué indiquant l'acte d'accusation, il" de façon incohérente ",," veillent à ce que les familles des personnes décédées et des blessés graves aient accès à la procédure. "

" Des informations très défavorables sont connues de la police "

C'est arrivé après minuit. Alors qu'ils s'apprêtaient à rentrer de leur patrouille de nuit, dans des véhicules de service sérigraphiés, quatre policiers de la Brigade Spécialisée de Terrain (BST) de la Sûreté Publique étaient ancrés dans un grand parking du Centre Carrefour de Venissieux. a été abandonné. Une galerie marchande au bout du périphérique lyonnais. Selon leur description, ils ont été intrigués par l'emplacement du véhicule dans lequel se trouvaient les deux personnes et les phares brisés. Après avoir remis l'immatriculation Renault Mégane au dossier, la police a compris que la voiture avait été volée.

Ils ont décidé de faire une vérification, se sont approchés de leur véhicule devant le véhicule suspect et sont sortis. A ce moment, les verres ont reculé d'environ 3 mètres. Selon la version policière, la voiture s'est alors arrêtée et le conducteur a levé la main, suggérant qu'il était prêt à être inspecté. Cependant, les lunettes ont soudainement redémarré et se sont dirigées droit sur la police.

Un policier a percuté le capot de la voiture de fuite et a atterri. Il a tiré ainsi qu'un de ses collègues. Au total, huit coups de feu ont été tirés, et les procureurs n'ont pas voulu le confirmer. Les lunettes volées ont parcouru 100 mètres et heurté le trottoir sur leur trajectoire. La police a rapidement réalisé la gravité de la situation lorsqu'elle a trouvé deux occupants inconscients dans la cabine. Un policier, également pompier volontaire, a très vite tenté un massage cardiaque pour réanimer l'un des deux hommes jusqu'à l'arrivée des secours.

Malgré cette tentative, le bilan est très lourd. Adam B , âgée de 20 ans , est décédée une passagère de Lyon, Reihane S. , 26 ans, chauffeur de la région d'Annecy, est en état de mort cérébrale. Selon le préfet de police de Lyon, les deux jeunes hommes sont `` connus des services de police pour être très désavantagés ''`` récidivistes.233 } "et a de nombreuses références dans les dossiers de police. Le conducteur a neuf condamnations, dont vol et recel," vol de véhicule aggravé "

" à ce stade. Et je ne sais pas savaient ce qu'ils faisaient avec la voiture volée sur le parking du Carrefour Vénissieux à l'époque. En tout cas, ils ont tenté de s'enfuir de manière très déterminée.} a déclaré une source proche de l'enquête.