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« L’amour est dans le pré » : Un premier baiser fougueux pour Jean et Laurence

Ça y est, on l’a eue ! Quoi ? La première galoche de la saison. Il aura fallu attendre la toute fin de la sixième soirée de L’amour est dans le pré, lundi, pour la voir, la salade de langue (désolé pour l’image, mais c’est la plus pertinente), aussi baveuse que passionnée, entre Jean et Laurence. Le cameraman de M6 n’en a pas loupé une miette de laitue. Il était sur la piste du thé dansant, immortalisant le slow du couple en devenir quand, tout à coup, les tourtereaux n’ont pas pu contenir leur fougue. 

C’était beau comme une toile de la Renaissance, nombre d’or et tout : elle et lui au premier plan, bouches collées et, assise à une table dans le fond, Nathalie, la prétendante déchue. Elle a découvert sous ses propres yeux ce qu’elle redoutait quelques instants plus tôt : le cœur de l’agriculteur penchait donc bien pour sa brune rivale. Qu’elle semble loin, désormais, la guéguerre du matin entre les deux femmes au sujet d’une salade de riz préparée pour un régiment.

Le risque de la « friendzone »

Guillaume, l’agriculteur du Limousin, lui, s’inquiète. Ses deux prétendantes, Margot et Noémie s’entendent trop bien. Elles ont covoituré en provenance des Hauts de France. Lui, il a une préférence pour Noémie. Il ne sait pas comment l’annoncer à Margot, qui semble très à l’aise chez lui. La situation le met mal à l’aise. A 28 ans, il n’a connu que des flirts et ne sait pas comment gérer. La production a appelé Karine Le Marchand à la rescousse. Au téléphone, l’animatrice a expliqué au Limougeaud qu’à force de tarder à se prononcer, il « risque de tomber dans la friendzone », cette zone dans laquelle « on préfère rester juste amis ».

Alexandre, le Normand, lui, a fait son choix. Il se projette en couple avec Anaïg. « Emotive et sensible », Laura le pressent et en verse quelques larmes. Lorsque l’agriculteur lui confirme ce qu’elle craignait, elle fait bonne figure. « Je me rends compte qu’il ne me correspondait pas. Je pars sans aucun regret », assure-t-elle. Elle tient d’ailleurs à honorer quand même l’invitation à la soirée couscous. Sauf qu’elle n’avalera pas une graine de semoule. Au moment de passer à table, sa chaise est vide. Alexandre part à la recherche de Laura et la trouve en larmes. « Je ne savais pas que je n’allais pas pouvoir contrôler mes émotions », se justifie-t-elle. Le Normand la raccompagne alors à la ferme. Et Anaïg dans tout ça ? On ne sait pas trop. Elle assure être « contente » d’être l’élue du cœur de l’agriculteur. Mais son langage corporel ne semble pas dire la même chose. Est-ce de la simple timidité ? Ou le signe d’un désintérêt ?

Le départ de Gilbert

Chez Alain, dans l’Allier, l’équation est encore plus compliquée puisqu’il a trois prétendants à domicile. Son homonyme, Alain, est dans le viseur des deux autres, Gilbert et Jean-Noël. S’ils savaient que l’agriculteur auvergnat avait effectivement une préférence pour lui, ils l’auraient peut-être encore plus mauvaise. Ils reprochent à Alain de trop se mettre en avant, et sans doute d’être trop à l’aise, blagueur, exubérant. 

Gilbert, lui, décide d’ailleurs de s’en aller. « Ta façon de travailler ne s’adapte pas à ma façon de travailler », explique-t-il. Il n’a visiblement pas compris qu’il s’agissait d’une émission de rencontres amoureuses et pas d’un entretien d’embauche. Jean-Noël pleure son départ mais sèche vite ses larmes. Lors d’un trajet en voiture, il peut enfin parler seul à seul avec Alain. Il révèle qu’il a été DJ pendant six ans, et aussi pompier volontaire. L’agriculteur est étonné, commence à le voir sous un nouveau jour… Les cartes sont-elles en train d’être redistribuées ?

« J'en ai le caleçon qui compresse »

Agnès, elle, a effectué ses speed-datings. La première brasseuse de bière de l’émission, 56 ans, vient du Grand-Est. Elle déplore n’avoir pas eu de coup de cœur. Il faut dire qu’entre un prétendant qui lui écrit un poème où il dit en avoir « le caleçon qui compresse », un autre qui a dû se croire au casting du Meilleur pâtissier puisqu’il lui propose une dégustation de tartes et tous les autres qui se mettent en tête de la faire danser (mal), on n’est loin de la comédie romantique. Elle, elle est fleur bleue, elle cherche son prince charmant. 

Bon gré mal gré, elle décide de convier Christian chez elle. Il se définit comme un « épicurien » au « fort caractère » et sort des phrases définitives telles que : « Il n’y a pas d’étrangers, il n’y a que des gens que je ne connais pas. » Elle invite aussi Eric, qui lui annonce qu’il prendra sa retraite dans un an. Son point fort : sa chemise rose. Agnès « aime bien les hommes en rose ». Autre bon point : il aime bien faire des surprises. Sera-t-il un cadeau pour Agnès ?