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Après le tournage de Tendre voyou de Jean Becker en 1966, l'actrice reçoit plusieurs coups de téléphone du fils aîné de l'écrivain belge. Seule la mort de Marc les séparera en 1999.
« La passion amoureuse est une maladie dévastatrice.» Quand Mylène Demongeot expliquait qu'elle croyait à la même théorie que Georges Simenon, elle pensait au grand amour de sa vie, Marc, fils aîné du romancier belge. Leur histoire dura plus de trente ans, de 1966 à 1999. Leur relation aura été fusionnelle, «obsessionnelle», osera-t-elle dire quand 20 ans après la mort de son mari elle sortira un livre original enrichi par un joli scrapbook, -un album fait de photos et de coupures de journaux -, intitulé bien sûr l'amour fou (Michel Lafon).
La passion est née d'une série de coups de téléphone. À l'époque pas de portables, de SMS, on doit laisser un message et attendre, en priant, que l'autre daigne vous joindre. Simenon, le père, Mylène Demongeot, ne connaît que Les Volets verts et Les Anneaux de Bicêtre... Sublimes mais «déprimants», écrira-t-elle dans Mes Tiroirs secrets. Tout cela n'incite pas à rappeler.
Tu plaisantes, c'est un fils à papa à la con!«Comme toutes les belles histoires, au début, je ne voulais pas rencontrer Marc
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L'amour tragique et «obsessionnel» de Mylène Demongeot et Marc Simenon, le fils du romancier
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