Une nouvelle étude menée sur les mesures de température depuis 1979 a révélé que dans certaines régions des régions polaires, un réchauffement de 1,25 °C par décennie est suggéré.
Pôle Nord Il s'est réchauffé quatre fois plus vite que le reste du monde au cours des 40 dernières années. Ces conclusions d'une nouvelle étude publiée jeudi 11 août soulèvent des inquiétudes quant à la sous-estimation des modèles climatiques polaires, où le réchauffement a un impact important sur l'élévation du niveau de la mer. La revue Nature Group Communications Earth & Cette étude , publié dans Environment , a considérablement révisé à la hausse le taux de réchauffement dans larégion arctique
en 2019. , le Groupe d'experts sur le climat des Nations Unies (GIEC) a estimé que l'Arctique se réchauffe " plus de fois la moyenne mondiale", influencée par des processus spécifiques à la région. Ce phénomène, appelé amplification arctique , se produit lorsque la glace de mer et la neige, qui réfléchissent naturellement la chaleur du soleil, fondent et se dissolvent dans l'eau de mer, absorbant davantage le rayonnement solaire et le réchauffant.
Les scientifiques sont depuis longtemps d'accord avec le constat quele réchauffement de l'Arctique s'accélère, mais leurs estimations du phénomène en ont fait l'objet de leurs études. Il varie plus ou moins selon la période et définition. Vaste zone géographique de l'Arctique. Dans une nouvelle étude, des chercheurs basés enNorvège et en Finlande 1979 - 4 ensembles de sommets collectés à travers l'Arctique par satellites. J'ai analysé les données de température. Lorsque les données satellites deviennent disponibles. Ils ont conclu que l'Arctique se réchauffait en moyenne de 0,75 °C par décennie, soit près de quatre fois plus vite que le reste de la planète.
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Chercheur " Ils "
L'activité humaine, principalement les gaz à effet de serre générés par les combustibles fossiles, a provoqué un réchauffement de la planète de près de 1,2 °C déjà depuis l'époque préindustrielle. " La littérature scientifique suggère que l'Arctique se réchauffe environ deux fois plus vite que le reste du globe, ce qui rend nos conclusions Nous avons été surpris de le trouver beaucoup plus élevé que la normale », explique l'Agence France-Presse Antti Lipponen, membre de l'Institut météorologique de Finlande et co-auteur de l'étude.
Cependant, une étude a trouvé de grandes différences régionales dans le taux de réchauffement dans l'Arctique. Par exemple, la partie eurasienne de l'océan Arctique près de l'archipel norvégien de Svalbard et de l'archipel de Novaya Zemlya en Russie se réchauffe à 1,25 °C par décennie, soit environ sept fois plus vite que le reste du monde. s'est transformé en.
L'équipe a découvert que les modèles climatiques les plus avancés prévoient un réchauffement de l'Arctique inférieur d'environ un tiers à ce que leurs données indiquent. Selon eux, cet écart peut s'expliquer par l'obsolescence des modèles précédents du climat arctique, qui sont constamment améliorés." Peut-être que la prochaine étape sera d'examiner ces modèles et de voir ce que nous voyons dans les observations." pour voir pourquoi nous ne le faisons pas et comment cela pourrait affecter les projections climatiques futures", a déclaré Antti Lipponen.
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" Cela nous affectera tous "
Réchauffement violent dans l'Arctique affectera gravement les résidents et la faune locale. La poursuite de la chasse aux glaces de mer aura également des implications mondiales. " Le changement climatique est d'origine humaine, et un réchauffement de l'Arctique fera fondre les glaciers, affectant le niveau mondial de la mer ", ont déclaré des experts. " Quelque chose se passe dans l'Arctique, et cela nous affectera tous", s'inquiète-t-il. La fonte des glaces dérivantes (glace de mer), qui est la principale cause de l'élévation du niveau de la mer, précède l'expansion de au réchauffement des océans. Selon le GIEC, le niveau de la mer a augmenté de 20 cm depuis 1900. Cependant, ce taux d'augmentation a triplé depuis 1990. Et selon le scénario, l'océan pourrait encore augmenter de 40 à 85 cm d'ici la fin du siècle.Les études sur la calotte glaciaire du Groenlandpourraient approcher de la " point de basculement" de la fonte, abaissant le niveau des eaux océaniques à six mètres de la Terre.
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