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Guy Stéphan, samedi, lors de France-Danemark. FRANCK FIFE/AFP

RENCONTRE - Avant Tunisie-France, l’adjoint de Didier Deschamps revient sur les bons et mauvais moments depuis le titre de champion du monde décroché en Russie.

• Sa plus grande joie

«La victoire en Ligue des nations face à l’Espagne(2-1, le 11 octobre 2021). On dit souvent qu’on mesure une partie de la qualité des entraîneurs aux changements qu’ils font pendant le match. Là, contre la Belgique en demi-finale, alors qu’on est mené 2-0, le bon coaching c’est de ne pas en avoir fait. Il n’y a pas eu de changement à la mi-temps, il y a eu un réajustement sur le terrain par Didier et cela a porté ces fruits. Quand on revient aux vestiaires de San Siro, je me souviens penser au tsunami qui risque d’arriver si on perd ce match. Les grandes secousses n’étaient pas loin… On bat les Belges dans un match assez fou (les Bleus s’imposent 3-2 en toute fin de rencontre), puis l’Espagne en finale et cela replace tout de suite le standing de l’équipe de France. Un bon et beau moment. On était dans un moment délicat, après une rentrée de septembre 2021 difficile, on s’était un peu installés dans une forme de confort deux ans après le sacre et là on revient contre deux équipes de très…

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