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L'Europe dit d'arrêter le blanchiment d'argent avec les crypto-monnaies

reporté, négociations acharnées dans le couloir du Parlement européen, enfin parvenir au premier résultat. Après plusieurs mois de débat, trois agences européennes (Commission européenne, Conseil et Conseil de l'Europe) qui sont intervenues dans le circuit de la justice dans le cadre d'un dialogue tripartite, jeudi et 30 juin. Vendredi. La crypto-monnaie est stricte."L'objectif important du président français de l'UE ", s'est félicité le ministère de l'Economie au lendemain de la signature de l'accord à Bruxelles.

Parmi les mesures majeures, concernant l'identification de tous les types de propriétaires de crypto-monnaies, ces actifs en Europe via la clause TFR (Money Transfer Regulations) imposée par la plateforme d'hébergement. ). En d'autres termes, même la petite quantité détenue, c'est la fin de l'anonymat de la blockchain dans l'univers. Jusqu'à présent, nous avons constaté que seule l'adresse cryptée du portefeuille numérique est . En effet, le portefeuille numérique a été enregistré et publié sur la "blockchain", mais l'identité de l'investisseur était inconnue. À l'avenir, la Commission explique qu'en exigeant la déclaration d'identité, les députés réduiront la fraude, y compris le blanchiment d'argent et le "financement du terrorisme". Les particularités textuelles, les portefeuilles qui ne sont pas hébergés en ligne (comme avec une clé USB) doivent également soumettre la même déclaration d'informations personnelles, telles que , telles que le KYC de la banque ({9). } Know Your Customer {dix}).

Surtout, bien que ce premier accord soit provisoire, il marque un tournant dans la vision que 27 entend donner à ces tokens qui promettent un monde sans intermédiaires. Parmi les parlementaires européens, la voix de s'est élevée à , imposant la même logique et le même cadre réglementaire que celui utilisé dans le secteur bancaire et les actifs financiers traditionnels. .. "Lorsque vous retirez ou déposez de l'argent dans une banque, tout est identifié et c'est normal. Il en est de même pour la cryptographie.",sontexpliqués à LaTribuneMEPAuroreLalucq.

Pour ou contre : Besoin de remplacer la réglementation bancaire par le monde des cryptomonnaies ?

Du "Nom et honte"

Mais les critères ne sont pas la préférence des acteurs du secteur. Dans une lettre envoyée au ministre européen des Finances en avril, 40 acteurs ont contesté le principe d'anonymat des détenteurs de cryptomonnaies . La plateforme accumule milliards de données personnelles et défend le droit des utilisateurs à la vie privée, par opposition à un modèle susceptible d'être saisi par les autorités fiscales des États. Ce , que Bruxelles promet de faire appliquer le RGPD, a été voté pour réguler les géants de la Tech.

Ce texte est plus restrictif et pose des questions d'un point de vue souverain. Qu'en est-il des plateformes américaines qui disposent de telles déclarations et de moyens légaux pour refuser de tels transferts de données ? Et d'autres acteurs qui préfèrent s'abstenir d'un agrément européen pour continuer à garantir l'anonymat à leurs clients.

"Utilisez les noms et la honte des personnes qui fournissent des services qui ne sont pas autorisés dans l'Union européenne", expliqueà Bercy, qui a assisté à la réunion à Bruxelles.

"Le but était d'aboutir à un texte qui puisse favoriser l'innovation tout en protégeant les consommateurs", nous sommes toujours contre. En France, depuis l'entrée en vigueur de la loi convention en 2021, les crypto-entrepreneurs sont tenus d'obtenir le statut de prestataire de services sur actifs numériques "PSAN" auprès de l'AMF (Autorité des marchés financiers). Aussi, pour les entreprises françaises qui souhaitent faire des affaires dans d'autres parties de l'Union Européenne, la "Procédure Simplifiée" est possible et le ministère est garanti.

Un cadre réglementaire amené à évoluer

En effet, le Tribunal européen a été formulé en 2015 pour proposer une extension de cette Suivre les recommandations du Groupe d'action financière ( GAFI) Règles cryptographiquesKYC pour les fournisseurs de services d'actifs pour les transferts à partir d'une valeur de 1 000 $.

L'accord intérimaire fera l'objet de nouvelles consultations entre la Commission et le Parlement avant le vote final prévu dans les prochains mois."Il s'agit d'un cadre aux marges évolutives qui tient compte de l'évolution du secteur sur les prochaines années (.) Notamment des NFT (Non-Fungible Tokens)", explique le ministère de l'Économie. Il est affirmé que "ce n'est pas un cadre rigide". La demande devrait être faite en 2023.

Mais alors que des vents réglementaires soufflent dans de nombreux États, les acteurs du secteur craignent un durcissement encore plus cruel. Après MiCA (Cryptocurrency Market), le premier à définir les catégories de crypto et de TFR qui sont discutées en parallèle depuis 2020 et sont préparées par les agences de régulation européennes. "Nous n'avons pas encore travaillé sur Mica 2", en réponse il y a quelques jours à la proposition de Christine Lagarde, patronne de la Banque centrale européenne (BCE), nous à Bercy. Garanti. Les régulateurs sont de toute façon au diapason face à ce que certains considèrent comme l'archétype du Far West."Aucune création financière n'est possible sans le contrôle de la Commission européenne", résume le ministère français.

Régulation Cryptomonnaies (MiCA) : "L'Union Européenne s'en mêle" (Pierre Person, Député LaREM)